[Espagnol]Correction de mes erreurs de traduction
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Message de tulipe72 posté le 17-10-2013 à 16:01:23 (S | E | F)
Bonjour
Je viens de faire une traduction (version) d'un texte que je vais surement devoir rendre, et redoublant cette année j'aimerai vraiment donner toutes les chances de mon côté. J'ai donc fait sérieusement mon travail, et je voulais savoir si vous pourriez m'aider à corriger mes éventuelles erreurs ? Cela serait vraiment trés gentil et trés serviable !!
Voici mon texte a traduire : La calle era estrecha, corta y con una alegria vital, desbordante : estaba riendo siempre. Bien es verdad que no solía verse demasiado limpia, aunque eso importaba poco a los vecinos. Porque la calle tenia también olor, pero lor del bueno, olor a huerta y naranjas recién cogidas y a flores que acababan de dejar el vergel e incluso a café recién tostado, que los ultramarinos Martínez-Coloniales lo torrefectaban en la misma puerta, a la vista del personal. Las gentes caminaban despacio por la calle, muy pegadas a las fachadas, pues la aceras eran mínima y por la calzada venían con frecuencia, a campanillazo limpio, los viejos tranvías pintados de amarillo, dando bandazos, como dueños y señores del espacio. De cuando en cuando, un taxi se detenia frente a cualquier portal y entonces el armatoste (disco 6, disco 9, disco 11, que eran tres las línea que por alli circulaban) chirriaba al frenar y eran de oír las imprecaciones del conductor si la parada se hacía larga.
Las gentes caminaban también por las aceras, para ir deteniéndose una y otra vez ante lo escaparates, que muchas eran las tiendas y muchas las novedades que ofrecían, para todos los gustos y para todas las necesidades . Trajes de caballero, señora y niños ; bolsos, abanicos, paraguas, lenceria fina, un un bazar del 0,95, ornamentos religiosos, cuadros de la Santa Cena, así de plata de ley como pilocromados en barro, joyerias caras y bisuterías economicas y en la farmacia especificos de los mejores laboratorios y aceite de higado de bacalao y también dericino y Cerebrino Mandri e incluso pilules orientales, para desarrolar el busto de las damas, aunque este afamado producto, por naturales razones de decoro, no se exhibia en las vitrinas, como tampoco las gomas higiénicas, que algun depravado solía comprar, con pecaminosa periodicidad.
--- Et voici mon travail ! ---
La rue était étroite, courte et débordante de joie, elle était toujours pleine de gaieté. Il est vrai qu'elle n'avait pas l'habitude de se trouver trop propre, même-si cela importait peu aux voisins. Parce que la rue avait aussi une odeur, une bonne odeur, une odeur de jardin, d'orange récemment cueillies et de fleurs qui venaient d'être déposés au verger et même l'odeur du café fait récemment filtré, que ceux d'Outre-Mer, les martiniquais, le torréfiaient sur le seuil, à la vue des passants. Les gens d'ici marchaient très lentement dans la rue, collés aux façades, puisque les trottoirs étaient réduits, et ils arrivaient fréquemment par la chaussée, avec un instrument propre, les vieux tramways peints en jaune, faisant des embardées, comme les maîtres et les Monsieur du coin. De temps en temps, un taxi s'arrêtait face à un quelconque portail puis l'engin (feu 6, feu 9, feu 11, elles étaient trois files qui circulaient par là-bas) il grinçait après avoir freiné à l'arrêt qui était long à cause d'entendre les serments du conducteur.
Les gens d'ici marchaient aussi sur les trottoirs, en s'arrêtant une ou deux fois devant les vitrines, les magasins étaient nombreux et ils offraient beaucoup de nouveautés pour tous les goûts et pour tous les besoins. Des costumes de chevaliers, pour femmes et enfants ; des sacs à main, des éventails, des parapluies, de la lingerie fine, un bric-à-brac dont 95% des objets sont des ornements religieux, des tableaux de la Sainte Cène, ainsi que des argenteries comme des polychromes en argiles, des bijoux coûteux, des bijoux en toc plus économiques et dans la pharmacie des médicaments des meilleurs laboratoires et de l'huile de foie de morue et aussi des dérivations et du Cerebrino Mandri et même des pilules, pour le développement de la poitrine des dames, même-si ce fameux produit, pour des raisons naturelles de décoration, ne s'exposait pas en vitrine, non-plus les serviettes hygiéniques, qu'un certain dégénéré avait l'habitude d'acheter, avec une régularité coupable.
Merciiii beaucoup à ceux qui m'aideront !!
Message de tulipe72 posté le 17-10-2013 à 16:01:23 (S | E | F)
Bonjour
Je viens de faire une traduction (version) d'un texte que je vais surement devoir rendre, et redoublant cette année j'aimerai vraiment donner toutes les chances de mon côté. J'ai donc fait sérieusement mon travail, et je voulais savoir si vous pourriez m'aider à corriger mes éventuelles erreurs ? Cela serait vraiment trés gentil et trés serviable !!
Voici mon texte a traduire : La calle era estrecha, corta y con una alegria vital, desbordante : estaba riendo siempre. Bien es verdad que no solía verse demasiado limpia, aunque eso importaba poco a los vecinos. Porque la calle tenia también olor, pero lor del bueno, olor a huerta y naranjas recién cogidas y a flores que acababan de dejar el vergel e incluso a café recién tostado, que los ultramarinos Martínez-Coloniales lo torrefectaban en la misma puerta, a la vista del personal. Las gentes caminaban despacio por la calle, muy pegadas a las fachadas, pues la aceras eran mínima y por la calzada venían con frecuencia, a campanillazo limpio, los viejos tranvías pintados de amarillo, dando bandazos, como dueños y señores del espacio. De cuando en cuando, un taxi se detenia frente a cualquier portal y entonces el armatoste (disco 6, disco 9, disco 11, que eran tres las línea que por alli circulaban) chirriaba al frenar y eran de oír las imprecaciones del conductor si la parada se hacía larga.
Las gentes caminaban también por las aceras, para ir deteniéndose una y otra vez ante lo escaparates, que muchas eran las tiendas y muchas las novedades que ofrecían, para todos los gustos y para todas las necesidades . Trajes de caballero, señora y niños ; bolsos, abanicos, paraguas, lenceria fina, un un bazar del 0,95, ornamentos religiosos, cuadros de la Santa Cena, así de plata de ley como pilocromados en barro, joyerias caras y bisuterías economicas y en la farmacia especificos de los mejores laboratorios y aceite de higado de bacalao y también dericino y Cerebrino Mandri e incluso pilules orientales, para desarrolar el busto de las damas, aunque este afamado producto, por naturales razones de decoro, no se exhibia en las vitrinas, como tampoco las gomas higiénicas, que algun depravado solía comprar, con pecaminosa periodicidad.
--- Et voici mon travail ! ---
La rue était étroite, courte et débordante de joie, elle était toujours pleine de gaieté. Il est vrai qu'elle n'avait pas l'habitude de se trouver trop propre, même-si cela importait peu aux voisins. Parce que la rue avait aussi une odeur, une bonne odeur, une odeur de jardin, d'orange récemment cueillies et de fleurs qui venaient d'être déposés au verger et même l'odeur du café fait récemment filtré, que ceux d'Outre-Mer, les martiniquais, le torréfiaient sur le seuil, à la vue des passants. Les gens d'ici marchaient très lentement dans la rue, collés aux façades, puisque les trottoirs étaient réduits, et ils arrivaient fréquemment par la chaussée, avec un instrument propre, les vieux tramways peints en jaune, faisant des embardées, comme les maîtres et les Monsieur du coin. De temps en temps, un taxi s'arrêtait face à un quelconque portail puis l'engin (feu 6, feu 9, feu 11, elles étaient trois files qui circulaient par là-bas) il grinçait après avoir freiné à l'arrêt qui était long à cause d'entendre les serments du conducteur.
Les gens d'ici marchaient aussi sur les trottoirs, en s'arrêtant une ou deux fois devant les vitrines, les magasins étaient nombreux et ils offraient beaucoup de nouveautés pour tous les goûts et pour tous les besoins. Des costumes de chevaliers, pour femmes et enfants ; des sacs à main, des éventails, des parapluies, de la lingerie fine, un bric-à-brac dont 95% des objets sont des ornements religieux, des tableaux de la Sainte Cène, ainsi que des argenteries comme des polychromes en argiles, des bijoux coûteux, des bijoux en toc plus économiques et dans la pharmacie des médicaments des meilleurs laboratoires et de l'huile de foie de morue et aussi des dérivations et du Cerebrino Mandri et même des pilules, pour le développement de la poitrine des dames, même-si ce fameux produit, pour des raisons naturelles de décoration, ne s'exposait pas en vitrine, non-plus les serviettes hygiéniques, qu'un certain dégénéré avait l'habitude d'acheter, avec une régularité coupable.
Merciiii beaucoup à ceux qui m'aideront !!
Réponse: [Espagnol]Correction de mes erreurs de traduction de alienor64, postée le 17-10-2013 à 22:29:14 (S | E)
Bonsoir Tulipe72
Voici mon texte a(accent) traduire : La calle era estrecha, corta y con una alegria vital, desbordante : estaba riendo siempre. Bien es verdad que no solía verse demasiado limpia, aunque eso importaba poco a los vecinos. Porque la calle tenia también olor, pero olor del bueno, olor a huerta y naranjas recién cogidas y a flores que acababan de dejar el vergel e incluso a café recién tostado, que los ultramarinos Martínez-Coloniales lo torrefectaban en la misma puerta, a la vista del personal. Las gentes caminaban despacio por la calle, muy pegadas a las fachadas, pues la aceras eran mínima y por la calzada venían con frecuencia, a campanillazo limpio, los viejos tranvías pintados de amarillo, dando bandazos, como dueños y señores del espacio. De cuando en cuando, un taxi se detenia frente a cualquier portal y entonces el armatoste (disco 6, disco 9, disco 11, que eran tres las línea que por alli circulaban) chirriaba al frenar y eran de oír las imprecaciones del conductor si la parada se hacía larga.
Las gentes caminaban también por las aceras, para ir deteniéndose una y otra vez ante lo escaparates, que muchas eran las tiendas y muchas las novedades que ofrecían, para todos los gustos y para todas las necesidades . Trajes de caballero, señora y niños ; bolsos, abanicos, paraguas, lenceria fina, un un bazar del 0,95, ornamentos religiosos, cuadros de la Santa Cena, así de plata de ley como pilocromados en barro, joyerias caras y bisuterías economicas y en la farmacia especificos de los mejores laboratorios y aceite de higado de bacalao y también dericino y Cerebrino Mandri e incluso pilules orientales, para desarrolar el busto de las damas, aunque este afamado producto, por naturales razones de decoro, no se exhibia en las vitrinas, como tampoco las gomas higiénicas, que algun depravado solía comprar, con pecaminosa periodicidad.
--- Et voici mon travail ! ---
La rue était étroite, courte et débordante de joie(la " alegría vital " n'est pas bien rendue dans la traduction), elle était toujours pleine de gaieté(de à : être plus fidèle au texte, bien que l'idée soit respectée) . Il est vrai qu'elle n'avait pas l'habitude de se trouver trop propre, même-si cela importait peu aux voisins. Parce que la rue avait aussi une odeur, une bonne odeur, une odeur de jardin("huerta"=verger), d'orange(pluriel) récemment(plutôt: "fraîchement") cueillies et de fleurs qui venaient d'être déposés(accord + "dejar"à traduire) au verger et même l'odeur du café fait récemment filtré("tostado"), que ceux d'Outre-Mer("los ultramarinos":= "l'épicerie"), les martiniquais("Martínez-Coloniales": c'est le nom de l'épicerie et pas "les martiniquais "!) , le torréfiaient sur le seuil, à la vue des passants. Les gens d'ici marchaient très( il n'y a pas "muy" dans le texte) lentement dans la rue,("muy pegadas"= " bien collés" plutôt que " très collés") collés aux façades, puisque les trottoirs étaient réduits(ou bien:"très étroits"), et ils arrivaient( le sujet de ce verbe est " los viejos transvías") fréquemment par la chaussée, avec un instrument("campanillazo"n'est pas "instrument"!) propre( de à : à reformuler), les vieux tramways peints en jaune, faisant des embardées, comme les maîtres et les Monsieur( de à : l'expression :" como dueño y señor = "en maître ") du coin("espacio").
---La suite.....tout de suite!
Réponse: [Espagnol]Correction de mes erreurs de traduction de alienor64, postée le 17-10-2013 à 23:45:06 (S | E)
Bonsoir
La suite ! Le texte espagnol comporte, lui aussi, quelques erreurs....des omissions d'accents, des mots mal orthographiés.....ce qui ne facilite pas la traduction !
De cuando en cuando, un taxi se detenia frente a cualquier portal y entonces el armatoste (disco 6, disco 9, disco 11, que eran tres las línea que por alli circulaban) chirriaba al frenar y eran de oír las imprecaciones del conductor si la parada se hacía larga.
Las gentes caminaban también por las aceras, para ir deteniéndose una y otra vez ante lo escaparates, que muchas eran las tiendas y muchas las novedades que ofrecían, para todos los gustos y para todas las necesidades . Trajes de caballero, señora y niños ; bolsos, abanicos, paraguas, lenceria fina, un un bazar del 0,95, ornamentos religiosos, cuadros de la Santa Cena, así de plata de ley como pilocromados en barro, joyerias caras y bisuterías economicas y en la farmacia especificos de los mejores laboratorios y aceite de higado de bacalao y también dericino y Cerebrino Mandri e incluso pilules orientales, para desarrolar el busto de las damas, aunque este afamado producto, por naturales razones de decoro, no se exhibia en las vitrinas, como tampoco las gomas higiénicas, que algun depravado solía comprar, con pecaminosa periodicidad.
--- Et voici mon travail ! ---
De temps en temps, un taxi s'arrêtait face à un quelconque portail puis("entonces") l'engin (feu 6, feu 9, feu 11, elles étaient(à traduire plutôt par tournure impersonnelle) trois files qui circulaient par là-bas( "par là")) il(à enlever) grinçait après avoir freiné("al + infinitif= simultanéité ponctuelle) à l'arrêt qui était long à cause d'entendre les serments( traduire:"imprecaciones") du conducteur (de à : à retraduire car incompréhensible!- " eran de oír": " ser de + infinitif" exprime une possibilité ; exemple: " era de esperar "= on pouvait s'y attendre --- " hacerse"= devenir ).
Les gens d'ici marchaient aussi sur les trottoirs, en s'arrêtant( ou " pour s'arrêter, une ou deux fois...") une ou deux fois devant les vitrines, les magasins étaient nombreux et ils offraient beaucoup de nouveautés pour tous les goûts et pour tous les besoins. Des costumes de chevaliers("caballero" à traduire correctement, s'agissant de "trajes"), pour femmes et enfants ; des sacs à main, des éventails, des parapluies, de la lingerie fine, un bric-à-brac dont 95% des objets sont des ornements religieux, des tableaux de la Sainte Cène, ainsi que des argenteries("plata de ley"= argent titré) comme des polychromes en argiles(singulier)( de à : mal traduit), des bijoux coûteux, des bijoux en toc(oui! mieux " bijoux fantaisie") plus économiques( "à bas prix") et dans la pharmacie des médicaments( "des spécialités") des meilleurs laboratoires et de l'huile de foie de morue et aussi des dérivations(où avez-vous vu des "dérivations"??? Vous avez mal recopié le texte espagnol !) et du Cerebrino Mandri et même des pilules( vous avez oublié :"orientales"), pour le développement de la poitrine des dames, même-(pas de trait d'union)si ce fameux produit, pour des raisons naturelles de décoration( " decoro" n'est pas " decoración" . Attention à la traduction!), ne s'exposait pas en vitrine, non-plus les serviettes hygiéniques, qu'un certain dégénéré(" depravado"= pervertido" à traduire ) avait l'habitude d'acheter, avec une régularité coupable("pecaminosa" ne signifie pas " coupable").
Bonne soirée !
Réponse: [Espagnol]Correction de mes erreurs de traduction de tulipe72, postée le 18-10-2013 à 12:15:20 (S | E)
Bonjour Madame et tout d'abord merci beaucoup pour votre première aide. Je viens de corriger certaines choses, mais il y en a d'autres que je n'ai pas compris, je les ai donc mises en italique. Pouvez vous me dire si ce que j'ai corrigé et bon et m'éclaircir sur les points en italique ? Merci beaucoup d'avance !
Je vous remet le texte en espagnol :
La calle era estrecha, corta y con una alegria vital, desbordante : estaba riendo siempre. Bien es verdad que no solía verse demasiado limpia, aunque eso importaba poco a los vecinos. Porque la calle tenia también olor, pero lor del bueno, olor a huerta y naranjas recién cogidas y a flores que acababan de dejar el vergel e incluso a café recién tostado, que los ultramarinos Martínez-Coloniales lo torrefectaban en la misma puerta, a la vista del personal. Las gentes caminaban despacio por la calle, muy pegadas a las fachadas, pues la aceras eran mínima y por la calzada venían con frecuencia, a campanillazo limpio, los viejos tranvías pintados de amarillo, dando bandazos, como dueños y señores del espacio. De cuando en cuando, un taxi se detenia frente a cualquier portal y entonces el armatoste (disco 6, disco 9, disco 11, que eran tres las línea que por alli circulaban) chirriaba al frenar y eran de oír las imprecaciones del conductor si la parada se hacía larga.
Las gentes caminaban también por las aceras, para ir deteniéndose una y otra vez ante lo escaparates, que muchas eran las tiendas y muchas las novedades que ofrecían, para todos los gustos y para todas las necesidades . Trajes de caballero, señora y niños ; bolsos, abanicos, paraguas, lenceria fina, un un bazar del 0,95, ornamentos religiosos, cuadros de la Santa Cena, así de plata de ley como pilocromados en barro, joyerias caras y bisuterías economicas y en la farmacia especificos de los mejores laboratorios y aceite de higado de bacalao y también dericino y Cerebrino Mandri e incluso pilules orientales, para desarrolar el busto de las damas, aunque este afamado producto, por naturales razones de decoro, no se exhibia en las vitrinas, como tampoco las gomas higiénicas, que algun depravado solía comprar, con pecaminosa periodicidad.
Et voici ma nouvelle correction :
La rue était étroite, courte et débordante de joie, elle était toujours pleine de gaieté. Il est vrai qu'elle n'avait pas l'habitude de se trouver trop propre, même-si cela importait peu aux voisins. Parce que la rue avait aussi une odeur, une bonne odeur, une odeur de verger, d'oranges fraîchement cueillies et de fleurs qui venaient d'être déposées au verger et même l'odeur du café récemment moulu, que l'épicerie, les Martinez-Coloniales, le torréfiaient sur le seuil, à la vue des passants. Les gens d'ici marchaient lentement dans la rue, bien collés aux façades, puisque les trottoirs étaient très étroits, et les vieux tramways peints en jaune arrivaient fréquemment par la chaussée, avec un instrument propre, faisant des embardées, en maître de l'espace. De temps en temps, un taxi s'arrêtait face à un quelconque portail donc l'engin (feu 6, feu 9, feu 11, elles étaient trois files qui circulaient par là) il grinçait après avoir freiné à l'arrêt qui était long à cause d'entendre les serments du conducteur.
Les gens d'ici marchaient aussi sur les trottoirs, pour s'arrêter une ou deux fois devant les vitrines, les magasins étaient nombreux et ils offraient beaucoup de nouveautés pour tous les goûts et pour tous les besoins. Des costumes pour homme, pour femmes et enfants ; des sacs à main, des éventails, des parapluies, de la lingerie fine, un bric-à-brac dont 95% des objets sont des ornements religieux, des tableaux de la Sainte Cène, ainsi que des argents titrés comme un polychrome en argile, des bijoux coûteux, des bijoux en toc à bas prix et dans la pharmacie des spécialités des meilleurs laboratoires et de l'huile de foie de morue et aussi de l'huile et du Cerebrino Mandri et même des pilules orientales, pour le développement de la poitrine des dames, même-si ce fameux produit, pour des raisons naturelles de décence , ne s'exposait pas en vitrine, non plus les serviettes hygiéniques, qu'un certain pervers avait l'habitude d'acheter, avec une régularité inavouable.
Encore merci pour votre aide !
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Modifié par tulipe72 le 18-10-2013 12:16
Réponse: [Espagnol]Correction de mes erreurs de traduction de alienor64, postée le 18-10-2013 à 16:05:36 (S | E)
Bonjour Tulipe72
Et voici ma nouvelle correction :
La rue était étroite, courte et débordante de joie, elle était toujours pleine de gaieté( "estaba riendo siempre"= sans faire du mot à mot: "toujours pleine de rires"). Il est vrai qu'elle n'avait pas l'habitude de se trouver("verse"= se voir) trop propre, même-(pas de trait d'union)si cela importait peu aux voisins. Parce que la rue avait aussi une odeur, une bonne odeur, une odeur de verger, d'oranges fraîchement cueillies et de fleurs qui venaient d'être déposées( " que acababan de dejar el...."= "dejar"= laisser/ quitter) au verger et même l'odeur du café récemment moulu(" tostado"= " grillé), que l'épicerie, les(enlevez cet article et la virgule) Martinez-Coloniales, le torréfiaient(accord avec le sujet) sur le seuil, à la vue des passants. Les gens d'ici marchaient lentement dans la rue, bien collés aux façades, puisque les trottoirs étaient très étroits, et les vieux tramways peints en jaune arrivaient fréquemment par la chaussée, avec un instrument propre("a campanillazo limpio" = à grands coups de clochette . Explication :"la campanilla"= la clochette . Le suffixe "azo" exprime un coup donné avec un objet contondant, ou tranchant, ou un coup violent ; exemple: "un puñetazo"= un coup de poing. Ici, "limpio" accentue l'intensité ; exemple: " a puñetazo limpio"= à grands coups de poing"), faisant des embardées, en maître de l'espace. De temps en temps, un taxi s'arrêtait face à un quelconque portail donc( erreur !" y entonces"= "et alors" ) l'engin (feu 6, feu 9, feu 11, elles étaient( tournure mpersonnelle = " il y avait trois...") trois files qui circulaient par là) il(à enlever car le sujet est déjà cité: " l'engin") grinçait après avoir freiné (" al frenar ": " al + infinitif" peut remplacer une subordonnée de temps . " al frenar" = en freinant / au moment de freiner) à l'arrêt qui était long à cause d'entendre les serments("las imprecaciones " ne sont pas "les serments") du conducteur. (de à : incorrect. Pour vous aider avec la tournure:" ser de + infinitif, voici un exemple :" era de suponer"= on pouvait supposer. A vous de refaire cette phrase de façon cohérente)
Les gens d'ici marchaient aussi sur les trottoirs, pour s'arrêter une ou deux fois devant les vitrines, les magasins étaient nombreux et ils(vous pouvez enlever ce pronom) offraient beaucoup de nouveautés pour tous les goûts et pour tous les besoins. Des costumes pour homme(pluriel), pour femmes et enfants ; des sacs à main, des éventails, des parapluies, de la lingerie fine, un bric-à-brac dont 95% des objets sont des ornements religieux, des tableaux de la Sainte Cène, ainsi que(" así de plata ...como..." = on peut traduire par:"tant en argent titré que polychromés en terre" ) des argents titrés comme un polychrome en argile, des bijoux coûteux, des bijoux en toc à bas prix et dans la pharmacie des spécialités des meilleurs laboratoires et de l'huile de foie de morue et aussi de l'huile(en écrivant correctement votre texte espagnol, vous auriez pu comprendre qu'il s'agissait d'huile " de ricino " en deux mots !) et du Cerebrino Mandri et même des pilules orientales, pour le développement de la poitrine des dames, même-( pas de trait d'union)si ce fameux produit, pour des raisons naturelles de décence , ne s'exposait pas en vitrine, non plus( " ni les... / pas plus que les...") les serviettes hygiéniques, qu'un certain pervers avait l'habitude d'acheter, avec une régularité inavouable( "pecaminosa" n'est pas " inavouable")
C'est à vous, Tulipe72!
Bonne soirée !
Réponse: [Espagnol]Correction de mes erreurs de traduction de tulipe72, postée le 19-10-2013 à 23:00:33 (S | E)
Merci à nouveau de votre correction et de votre aide qui me touche. J'ai donc tenté de corrigé mes erreurs une nouvelle fois ! Il y en a t-il encore ?
La rue était étroite, courte et débordante de joie, elle était toujours pleine de rires . Il est vrai qu'elle n'avait pas l'habitude de se voir trop propre, même si cela importait peu aux voisins. Parce que la rue avait aussi une odeur, une bonne odeur, une odeur de verger, d'oranges fraîchement cueillies et de fleurs qui venaient d'être laissées au verger et même l'odeur du café récemment grillé, que l'épicerie Martinez-Coloniales, le torréfiait sur le seuil, à la vue des passants. Les gens d'ici marchaient lentement dans la rue, bien collés aux façades, puisque les trottoirs étaient très étroits, et les vieux tramways peints en jaune arrivaient fréquemment par la chaussée, à grands coups de clochette , faisant des embardées, en maître de l'espace. De temps en temps, un taxi s'arrêtait face à un quelconque portail et alors l'engin (feu 6, feu 9, feu 11, il y avait trois files qui circulaient par là) grinçait au moment de freiner à l'arrêt qui, on pouvait supposer, était long à cause d'entendre les grossièretés du conducteur.
Les gens d'ici marchaient aussi sur les trottoirs, pour s'arrêter une ou deux fois devant les vitrines, les magasins étaient nombreux et offraient beaucoup de nouveautés pour tous les goûts et pour tous les besoins. Des costumes pour hommes, pour femmes et enfants ; des sacs à main, des éventails, des parapluies, de la lingerie fine, un bric-à-brac dont 95% des objets sont des ornements religieux, des tableaux de la Sainte Cène, tant en argent titré que polychromés en terre , des bijoux coûteux, des bijoux en toc à bas prix et dans la pharmacie des spécialités des meilleurs laboratoires et de l'huile de foie de morue et aussi de l'huile de ricino et du Cerebrino Mandri et même des pilules orientales, pour le développement de la poitrine des dames, ni ce fameux produit, pour des raisons naturelles de décence, ne s'exposait pas en vitrine, pas plus que les serviettes hygiéniques, qu'un certain pervers avait l'habitude d'acheter, avec une régularité coupable.
Merci d'avance
Réponse: [Espagnol]Correction de mes erreurs de traduction de alienor64, postée le 20-10-2013 à 00:43:20 (S | E)
Bonsoir Tulipe72
J'ai donc tenté de corrigé(infinitif) mes erreurs une nouvelle fois ! Il y en a t-il encore ? Quelques-unes! Mais c'est bien mieux !
La rue était étroite, courte et débordante de joie, elle était toujours pleine de rires . Il est vrai qu'elle n'avait pas l'habitude de se voir trop propre, même si cela importait peu aux voisins. Parce que la rue avait aussi une odeur, une bonne odeur, une odeur de verger, d'oranges fraîchement cueillies et de fleurs qui venaient d'être laissées( "que acababan de dejar": forme active et non passive) au verger et même l'odeur du café récemment grillé, que l'épicerie Martinez-Coloniales, le(à enlever; correct en espagnol, incorrect en français!) torréfiait sur le seuil, à la vue des passants. Les gens d'ici marchaient lentement dans la rue, bien collés aux façades, puisque les trottoirs étaient très étroits, et les vieux tramways peints en jaune arrivaient fréquemment par la chaussée, à grands coups de clochette , faisant des embardées, en maître de l'espace. De temps en temps, un taxi s'arrêtait face à un quelconque portail et alors l'engin (feu 6, feu 9, feu 11, il y avait trois files qui circulaient par là) grinçait au moment de freiner à l'arrêt qui, on pouvait supposer( j'avais mis en exemple le verbe " suponer"("era de suponer ") pour que vous compreniez la construction de " ser de + infinitif" ; il fallait s'en servir pour le verbe " oír"), était long à cause d'entendre les grossièretés ( "imprecaciones" n'est pas " grossièretés ") du conducteur( de à : cette partie vous pose problème ! " y eran de oír las imprecaciones......si la parada se hacía larga " = et on pouvait entendre les.....si l'arrêt devenait trop long) .
Les gens d'ici marchaient aussi sur les trottoirs, pour s'arrêter une ou deux fois devant les vitrines, les magasins étaient nombreux et offraient beaucoup de nouveautés pour tous les goûts et pour tous les besoins. Des costumes pour hommes, pour femmes et enfants ; des sacs à main, des éventails, des parapluies, de la lingerie fine, un bric-à-brac dont 95% des objets sont des ornements religieux, des tableaux de la Sainte Cène, tant en argent titré que polychromés en terre , des bijoux coûteux, des bijoux en toc à bas prix et dans la pharmacie des spécialités des meilleurs laboratoires et de l'huile de foie de morue et aussi de l'huile de ricino( traduction de " ricino ") et du Cerebrino Mandri et même des pilules orientales, pour le développement de la poitrine des dames, ni( " aunque" n'est pas " ni ") ce fameux produit, pour des raisons naturelles de décence, ne s'exposait pas en vitrine, pas plus que les serviettes hygiéniques, qu'un certain pervers avait l'habitude d'acheter, avec une régularité coupable( "pecaminosa"= condamnable).( il vaudrait mieux placer l'adjectif devant le nom )
Bon week-end !
Réponse: [Espagnol]Correction de mes erreurs de traduction de tulipe72, postée le 20-10-2013 à 14:52:07 (S | E)
Merci de votre aide, voici mes améliorations !
Je vous redonne le texte à traduire ( peut - être que cela vous aide à corriger si vous l'avez juste au dessus ?)
La calle era estrecha, corta y con una alegria vital, desbordante : estaba riendo siempre. Bien es verdad que no solía verse demasiado limpia, aunque eso importaba poco a los vecinos. Porque la calle tenia también olor, pero lor del bueno, olor a huerta y naranjas recién cogidas y a flores que acababan de dejar el vergel e incluso a café recién tostado, que los ultramarinos Martínez-Coloniales lo torrefectaban en la misma puerta, a la vista del personal. Las gentes caminaban despacio por la calle, muy pegadas a las fachadas, pues la aceras eran mínima y por la calzada venían con frecuencia, a campanillazo limpio, los viejos tranvías pintados de amarillo, dando bandazos, como dueños y señores del espacio. De cuando en cuando, un taxi se detenia frente a cualquier portal y entonces el armatoste (disco 6, disco 9, disco 11, que eran tres las línea que por alli circulaban) chirriaba al frenar y eran de oír las imprecaciones del conductor si la parada se hacía larga.
Las gentes caminaban también por las aceras, para ir deteniéndose una y otra vez ante lo escaparates, que muchas eran las tiendas y muchas las novedades que ofrecían, para todos los gustos y para todas las necesidades . Trajes de caballero, señora y niños ; bolsos, abanicos, paraguas, lenceria fina, un un bazar del 0,95, ornamentos religiosos, cuadros de la Santa Cena, así de plata de ley como pilocromados en barro, joyerias caras y bisuterías economicas y en la farmacia especificos de los mejores laboratorios y aceite de higado de bacalao y también dericino y Cerebrino Mandri e incluso pilules orientales, para desarrolar el busto de las damas, aunque este afamado producto, por naturales razones de decoro, no se exhibia en las vitrinas, como tampoco las gomas higiénicas, que algun depravado solía comprar, con pecaminosa periodicidad.
Et voici ma traduction :
La rue était étroite, courte et débordante de joie, elle était toujours pleine de rires . Il est vrai qu'elle n'avait pas l'habitude de se voir trop propre, même si cela importait peu aux voisins. Parce que la rue avait aussi une odeur, une bonne odeur, une odeur de verger, d'oranges fraîchement cueillies et de fleurs qui venaient juste de quitter le verger et même l'odeur du café récemment grillé, que l'épicerie Martinez-Coloniales, torréfiait sur le seuil, à la vue des passants. Les gens d'ici marchaient lentement dans la rue, bien collés aux façades, puisque les trottoirs étaient très étroits, et les vieux tramways peints en jaune arrivaient fréquemment par la chaussée, à grands coups de clochette , faisant des embardées, en maître de l'espace. De temps en temps, un taxi s'arrêtait face à un quelconque portail et alors l'engin (feu 6, feu 9, feu 11, il y avait trois files qui circulaient par là) grinçait au moment de freiner et on pouvait entendre les imprécations du conducteur si l'arrêt devenait trop long.
Les gens d'ici marchaient aussi sur les trottoirs, pour s'arrêter une ou deux fois devant les vitrines, les magasins étaient nombreux et offraient beaucoup de nouveautés pour tous les goûts et pour tous les besoins. Des costumes pour hommes, pour femmes et enfants ; des sacs à main, des éventails, des parapluies, de la lingerie fine, un bric-à-brac dont 95% des objets sont des ornements religieux, des tableaux de la Sainte Cène, tant en argent titré que polychromés en terre , des bijoux coûteux, des bijoux en toc à bas prix et dans la pharmacie des spécialités des meilleurs laboratoires et de l'huile de foie de morue et aussi de l'huile de ricin et du Cerebrino Mandri et même des pilules orientales, pour le développement de la poitrine des dames, même ce fameux produit, pour des raisons naturelles de décence, ne s'exposait pas en vitrine, pas plus que les serviettes hygiéniques, qu'un certain pervers avait l'habitude d'acheter, avec une condamnable régularité .
Je vous remercie par avance de votre temps qui m'ait accordé !
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Modifié par tulipe72 le 20-10-2013 14:52
Réponse: [Espagnol]Correction de mes erreurs de traduction de alienor64, postée le 20-10-2013 à 15:43:58 (S | E)
Bonjour Tulipe
Cette fois-ci, c'est très bien !
La rue était étroite, courte et débordante de joie, elle était toujours pleine de rires . Il est vrai qu'elle n'avait pas l'habitude de se voir trop propre, même si cela importait peu aux voisins. Parce que la rue avait aussi une odeur, une bonne odeur, une odeur de verger, d'oranges fraîchement cueillies et de fleurs qui venaient juste de quitter le verger et même l'odeur du café récemment grillé, que l'épicerie Martinez-Coloniales,(enlevez la virgule) torréfiait sur le seuil, à la vue des passants. Les gens d'ici marchaient lentement dans la rue, bien collés aux façades, puisque les trottoirs étaient très étroits, et les vieux tramways peints en jaune arrivaient fréquemment par la chaussée, à grands coups de clochette , faisant des embardées, en maître de l'espace. De temps en temps, un taxi s'arrêtait face à un quelconque portail et alors l'engin (feu 6, feu 9, feu 11, il y avait trois files qui circulaient par là) grinçait au moment de freiner et on pouvait entendre les imprécations du conducteur si l'arrêt devenait trop long.
Les gens d'ici marchaient aussi sur les trottoirs, pour s'arrêter une ou deux fois devant les vitrines, les magasins étaient nombreux et offraient beaucoup de nouveautés pour tous les goûts et pour tous les besoins. Des costumes pour hommes, pour femmes et enfants ; des sacs à main, des éventails, des parapluies, de la lingerie fine, un bric-à-brac dont 95% des objets sont("étaient", pour respecter les temps dans le texte) des ornements religieux, des tableaux de la Sainte Cène, tant en argent titré que polychromés en terre , des bijoux coûteux, des bijoux en toc à bas prix et dans la pharmacie des spécialités des meilleurs laboratoires et de l'huile de foie de morue et aussi de l'huile de ricin et du Cerebrino Mandri et même des pilules orientales, pour le développement de la poitrine des dames, même si ce fameux produit, pour des raisons naturelles de décence, ne s'exposait pas en vitrine, pas plus que les serviettes hygiéniques, qu'un certain pervers avait l'habitude d'acheter, avec une condamnable régularité .
Bon dimanche, Tulipe!
Réponse: [Espagnol]Correction de mes erreurs de traduction de tulipe72, postée le 20-10-2013 à 17:00:35 (S | E)
Merci beaucoup de votre aide !! Je vais essayer de retravailler tout cela pour ne plus les refaire ! Je vous remercie de votre temps . J'espère avoir une bonne note car ce professeur est trés sévère !
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