Thème espagnol- la littérature espagnole
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Message de karukera971 posté le 18-01-2013 à 22:05:02 (S | E | F)
Bonsoir,
Pourrais-je savoir si mon thème vous paraît correct, s'il vous plaît ?
Merci pour vos réponses.
Texte à traduire :
L’étude de la littérature espagnole a ses difficultés matérielles, qui peuvent surprendre. Dans presque toutes les langues de l’Europe, les auteurs qui ont joui d’une grandi réputation parmi leurs contemporains, ceux dont les ouvrages ont exercé une influence considérable sur le goût public, les auteurs classiques en un mot, ont été souvent imprimés et réimprimés. Pour les connaître tous, il suffit d’avoir accès dans une bibliothèque de second ou de troisième ordre. En Espagne, il en est autrement. Là, beaucoup d’ouvrages du XVIe et du XVIIe siècle, composés par les écrivains les plus illustres, sont devenus maintenant d’une telle rareté, que les érudits ont peine à les connaître. Disons mieux : pour les voir seulement, il faut visiter toutes les capitales de l’Europe. En effet, grace à l’inquisition, aux guerres civiles et étrangères, aux bibliophiles voyageurs, les livres rares espagnols le sont peut-être plus en Espagne que partout ailleurs. Aujourd’hui la bibliothèque de don Quichotte ferait la fortune de son propriétaire, et les amateurs paieraient bien plus qu’au poids de l’or ces romans de chevalerie que le curé et le barbier livraient si impitoyablement à madame la gouvernante. Veut-on lire par exemple, dans l’original, le seul de ces romans qui ait trouvé grace devant ces juges rigoureux. Tirant le Blanc, que Cervantes appelle un trésor, de gaieté, une mine de divertissement inépuisable ? il faut aller à Londres, où se trouve le seul exemplaire connu des bibliophiles, jadis découvert par lord Grenville et légué par lui avec sa magnifique bibliothèque au Musée Britannique. Certains ouvrages de Cervantes lui-même ne sont pas moins rares. Une collection complète de ses drames est inconnue ; plusieurs de ses comédies n’ont jamais été imprimées. On en peut dire autant de Calderon et de Lope de Vega, et il est vraisemblable qu’un assez grand nombre d’ouvrages, manuscrits ou imprimés, cités avec éloge par des littérateurs du siècle dernier, ont disparu complètement aujourd’hui.
Prosper Mérimée, Mélanges historiques et littéraires,1867
Ma traduction:
El estudio de la literatura española tiene sus dificultades materiales, que pueden sorprendir.
En casi todas las lenguas de Europa, los autores que disfrutaron de una grande reputación entre sus contemporáneos, los que las obras ejercieron una influencia considerable sobre la afición pública, los autores clásicos, en una palabra, a menudo han impresos y reimpresos.
Para conocerlos todos, basta tener accesso a una biblioteca de segunda clase o de tercera. En españa, es diferente. Allí, muchas obras del siglo 16 o del siglo 17, escribidas por escritores los más ilustres, han volvido ahora en una rareza que los eruditos tienen dificultad a conocerlos.
Digamos mejor : para verlos solamente, tiene que visitar a todas las capitales de Europa. En efecto, gracias a la Inquisición, a las guerras civiles y exteriores, a los que gustan las bibliotecas y viajan, los libros raros españoles lo están quizás más en España que en otra parte.
Hoy la biblioteca de Don Quichotte haría fortuna de su propietario, y los aficionados pagarían mas bien que su peso en oro estas novelas de caballeras que el cura y el peluque entregaban sin pieda a Senora la gobernanta.
Queramos leer, por ejemplo, en el alce, la única de estas novelas que pudo recibir la aprobación de estos juezes rigurosos. Tirante el Blanco que Cervantes llama « un tresóro de alegría, una mina de diversión inagotable », tenemos que ir a Londres, donde se encuentra el único ejemplar conocido de los amores de las bibliotecas, antaño descubrido por Lord Grenville, y legado por él con su magnífica biblioteca en el museo britanico.
Algunas obras de Cervantès, él mismo, no están menos raras. Una colección completa de sus dramas es desconocida. Varias de sus comedias jamas han impreso. Podemos decir la misma cosa con Calderon y Lope de Vega, y es probable que un basta gran número de obras, manuscritas o impresas, citadas con elogio por los literatos del siglo pasado, ha completamente desparecido hoy.
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Modifié par bridg le 22-01-2013 07:02
N'hésitez pas à mettre les formules de politesse complètes.
Message de karukera971 posté le 18-01-2013 à 22:05:02 (S | E | F)
Bonsoir,
Pourrais-je savoir si mon thème vous paraît correct, s'il vous plaît ?
Merci pour vos réponses.
Texte à traduire :
L’étude de la littérature espagnole a ses difficultés matérielles, qui peuvent surprendre. Dans presque toutes les langues de l’Europe, les auteurs qui ont joui d’une grandi réputation parmi leurs contemporains, ceux dont les ouvrages ont exercé une influence considérable sur le goût public, les auteurs classiques en un mot, ont été souvent imprimés et réimprimés. Pour les connaître tous, il suffit d’avoir accès dans une bibliothèque de second ou de troisième ordre. En Espagne, il en est autrement. Là, beaucoup d’ouvrages du XVIe et du XVIIe siècle, composés par les écrivains les plus illustres, sont devenus maintenant d’une telle rareté, que les érudits ont peine à les connaître. Disons mieux : pour les voir seulement, il faut visiter toutes les capitales de l’Europe. En effet, grace à l’inquisition, aux guerres civiles et étrangères, aux bibliophiles voyageurs, les livres rares espagnols le sont peut-être plus en Espagne que partout ailleurs. Aujourd’hui la bibliothèque de don Quichotte ferait la fortune de son propriétaire, et les amateurs paieraient bien plus qu’au poids de l’or ces romans de chevalerie que le curé et le barbier livraient si impitoyablement à madame la gouvernante. Veut-on lire par exemple, dans l’original, le seul de ces romans qui ait trouvé grace devant ces juges rigoureux. Tirant le Blanc, que Cervantes appelle un trésor, de gaieté, une mine de divertissement inépuisable ? il faut aller à Londres, où se trouve le seul exemplaire connu des bibliophiles, jadis découvert par lord Grenville et légué par lui avec sa magnifique bibliothèque au Musée Britannique. Certains ouvrages de Cervantes lui-même ne sont pas moins rares. Une collection complète de ses drames est inconnue ; plusieurs de ses comédies n’ont jamais été imprimées. On en peut dire autant de Calderon et de Lope de Vega, et il est vraisemblable qu’un assez grand nombre d’ouvrages, manuscrits ou imprimés, cités avec éloge par des littérateurs du siècle dernier, ont disparu complètement aujourd’hui.
Prosper Mérimée, Mélanges historiques et littéraires,1867
Ma traduction:
El estudio de la literatura española tiene sus dificultades materiales, que pueden sorprendir.
En casi todas las lenguas de Europa, los autores que disfrutaron de una grande reputación entre sus contemporáneos, los que las obras ejercieron una influencia considerable sobre la afición pública, los autores clásicos, en una palabra, a menudo han impresos y reimpresos.
Para conocerlos todos, basta tener accesso a una biblioteca de segunda clase o de tercera. En españa, es diferente. Allí, muchas obras del siglo 16 o del siglo 17, escribidas por escritores los más ilustres, han volvido ahora en una rareza que los eruditos tienen dificultad a conocerlos.
Digamos mejor : para verlos solamente, tiene que visitar a todas las capitales de Europa. En efecto, gracias a la Inquisición, a las guerras civiles y exteriores, a los que gustan las bibliotecas y viajan, los libros raros españoles lo están quizás más en España que en otra parte.
Hoy la biblioteca de Don Quichotte haría fortuna de su propietario, y los aficionados pagarían mas bien que su peso en oro estas novelas de caballeras que el cura y el peluque entregaban sin pieda a Senora la gobernanta.
Queramos leer, por ejemplo, en el alce, la única de estas novelas que pudo recibir la aprobación de estos juezes rigurosos. Tirante el Blanco que Cervantes llama « un tresóro de alegría, una mina de diversión inagotable », tenemos que ir a Londres, donde se encuentra el único ejemplar conocido de los amores de las bibliotecas, antaño descubrido por Lord Grenville, y legado por él con su magnífica biblioteca en el museo britanico.
Algunas obras de Cervantès, él mismo, no están menos raras. Una colección completa de sus dramas es desconocida. Varias de sus comedias jamas han impreso. Podemos decir la misma cosa con Calderon y Lope de Vega, y es probable que un basta gran número de obras, manuscritas o impresas, citadas con elogio por los literatos del siglo pasado, ha completamente desparecido hoy.
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Modifié par bridg le 22-01-2013 07:02
N'hésitez pas à mettre les formules de politesse complètes.
Réponse: Thème espagnol- la littérature espagnole de bernard02, postée le 19-01-2013 à 02:39:06 (S | E)
Bonjour,
bon ! Je vais commencer par quelques fautes d'orthographe seulement, je vous les repère en bleu.
Pouvez-vous, s'il vous plaît, faire un effort en essayant de les corriger vous-même et en nous présentant ensuite votre texte modifié ?
Bon courage.
El estudio de la literatura española tiene sus dificultades materiales, que pueden sorprendir (faute).
En casi todas las lenguas de Europa, los autores que disfrutaron de una grande reputación entre sus contemporáneos, los que las obras ejercieron una influencia considerable sobre la afición pública, los autores clásicos, en una palabra, a menudo han impresos y reimpresos.
Para conocerlos todos, basta tener accesso (faute) a una biblioteca de segunda clase o de tercera. En españa (faute), es diferente. Allí, muchas obras del siglo 16 o del siglo 17, escribidas por escritores los más ilustres, han volvido (faute) ahora en una rareza que los eruditos tienen dificultad a conocerlos.
Digamos mejor : para verlos solamente, tiene que visitar a todas las capitales de Europa. En efecto, gracias a la Inquisición, a las guerras civiles y exteriores, a los que gustan las bibliotecas y viajan, los libros raros españoles lo están quizás más en España que en otra parte.
Hoy la biblioteca de Don Quichotte (faute) haría fortuna de su propietario, y los aficionados pagarían mas bien que su peso en oro estas novelas de caballeras que el cura y el peluque (faute) entregaban sin pieda (faute) a Senora (faute) la gobernanta (faute).
Queramos leer, por ejemplo, en el alce, la única de estas novelas que pudo recibir la aprobación de estos juezes (faute) rigurosos. Tirante el Blanco que Cervantes llama « un tresóro ( faute) de alegría, una mina de diversión inagotable », tenemos que ir a Londres, donde se encuentra el único ejemplar conocido de los amores de las bibliotecas, antaño descubrido (faute) por Lord Grenville, y legado por él con su magnífica biblioteca en el museo britanico (faute).
Algunas obras de Cervantès, él mismo, no están menos raras. Una colección completa de sus dramas es desconocida. Varias de sus comedias jamas han impreso. Podemos decir la misma cosa con Calderon y Lope de Vega, y es probable que un basta gran número de obras, manuscritas o impresas, citadas con elogio por los literatos del siglo pasado, ha completamente desparecido hoy.
Réponse: Thème espagnol- la littérature espagnole de karukera971, postée le 19-01-2013 à 08:47:59 (S | E)
Merci Bernard02 (je m'excuse pour ces fautes abominables!!)
Voici le thème corrigé:
El estudio de la literatura española tiene sus dificultades materiales, que pueden sorprender.
En casi todas las lenguas de Europa, los autores que disfrutaron de una grande reputación entre sus contemporáneos, los que las obras ejercieron una influencia considerable sobre la afición pública, los autores clásicos, en una palabra, a menudo han impresos y reimpresos.
Para conocerlos todos, basta tener acceso a una biblioteca de segunda clase o de tercera. En España, es diferente. Allí, muchas obras del siglo 16 o del siglo 17, escribidas por escritores los más ilustres, han vuelto ahora en una rareza que los eruditos tienen dificultad a conocerlos.
Digamos mejor : para verlos solamente, tiene que visitar a todas las capitales de Europa. En efecto, gracias a la Inquisición, a las guerras civiles y exteriores, a los que gustan las bibliotecas y viajan, los libros raros españoles lo están quizás más en España que en otra parte.
Hoy la biblioteca de Don Quijote haría fortuna de su propietario, y los aficionados pagarían mas bien que su peso en oro estas novelas de caballeras que el cura y el barbero entregaban despiadadamente a Señora la aya.
Queramos leer, por ejemplo, en el alce, la única de estas novelas que pudo recibir la aprobación de estos jueces rigurosos. Tirante el Blanco que Cervantes llama « un tresoro de alegría, una mina de diversión inagotable », tenemos que ir a Londres, donde se encuentra el único ejemplar conocido de los amores de las bibliotecas, antaño descubierto por Lord Grenville, y legado por él con su magnífica biblioteca en el museo británico.
Algunas obras de Cervantès, él mismo, no están menos raras. Una colección completa de sus dramas es desconocida. Varias de sus comedias jamas han impreso. Podemos decir la misma cosa con Calderon y Lope de Vega, y es probable que un basta gran número de obras, manuscritas o impresas, citadas con elogio por los literatos del siglo pasado, ha completamente desparecido hoy.
Réponse: Thème espagnol- la littérature espagnole de sigmarie, postée le 19-01-2013 à 15:14:31 (S | E)
Bonjour!
El estudio de la literatura española tiene sus dificultades materiales, que pueden sorprender.Tiene ( article indéfini dificultades materiales...ou: tiene sus dificultades materiales, estas pueden sorprender.
En casi todas las lenguas de Europa, los autores que disfrutaron de una sans article indéfini grande erreur reputación entre sus contemporáneos, los que
Para conocerlos todos, basta tener acceso a una biblioteca de segunda clase o de tercera. En España, es diferente. Allí, muchas obras del siglo 16 XVI o del siglo 17 XVII , escribidas gran error por escritores los más ilustresà l'inverse: los más ilustres escritores, han vuelto ahora en una rareza ??? que los eruditos tienen dificultad a autre préposition conocerlos.
Digamos mejor À l'inverse : para verlos solamente, tiene ¿ Quién tiene? que visitar a sans préposition todas las capitales de Europa. En efecto, gracias a la Inquisición gracias a la Inquisición non,, s'il vous plaît! autre connecteur..., a las guerras civiles y exteriores, a los que les gustan las bibliotecas y viajan, los libros raros españoles lo sans lo están quizás más en España que en otra parte.
Hoy la biblioteca de Don Quijote haría il manque un article fortuna de su propietario, y los aficionados pagarían mas accent bien sans bien que su peso en oro estas novelas de caballeras erreur que el cura y el barbero entregaban despiadadamente a Señora la aya a la Señora aya .
Queramos leer, por ejemplo, en el alce???, la única de estas novelas que pudo recibir la aprobación de estos jueces rigurosos. Tirante el Blanco que Cervantes llama « un tresoro erreur de alegría, una mina de diversión inagotable », tenemos que ir a Londres, donde se encuentra el único ejemplar conocido de los amores de las bibliotecas, antaño descubierto por Lord Grenville, y legado por él con su magnífica biblioteca en el museo británico. mayuscule
Algunas obras de Cervantès, él mismo, no están menos raras le mot raras... est un peu "raro". Una colección completa de sus dramas es desconocida. Varias de sus comedias jamas accent han impreso se han visto imprimidas/ se han imprimido . Podemos decir
Ce texte est assez difficile, vous pourriez faire par de textes plus faciles.
En ce qui concerne à l'oeuvre: Tirant lo Blanch ( Tirante el Blanco) l'original n'est pas écrite en espagnol elle est une oeuvre écrite en valenciano-catalan, après elle était traduite en diverses langues. Alors que Cervantes avait été en Barcelone et probablement l'avait lu en cette langue.
Si vous dites: Gracias a la Inquisición... puaff! c'est positif?
Mieux utiliser: Por causa de... non pas a causa de,car cela est un galicisme.
¡Saludos!
Réponse: Thème espagnol- la littérature espagnole de alienor64, postée le 19-01-2013 à 15:48:45 (S | E)
Bonjour Karukera
Il reste quelques erreurs :
"El estudio de la literatura española tiene sus dificultades materiales, que pueden sorprender.
En casi todas las lenguas de Europa, los autores que disfrutaron de una grande ( apocope devant un substantif singulier masculin ou féminin ) reputación entre sus contemporáneos, los que las obras ejercieron una influencia considerable sobre la afición pública, los autores clásicos, en una palabra, a menudo han( autre auxiliaire , ce n'est pas la voix active . De plus , avec " haber ", le participe passé est toujours invariable ) impresos y reimpresos.
Para conocerlos todos, basta tener acceso a una biblioteca de segunda clase o de tercera. En España, es diferente. Allí, muchas obras del siglo 16 o del siglo 17, escribidas por escritores los más ilustres, han vuelto ahora en una rareza que los eruditos tienen dificultad a conocerlos.
Digamos mejor : para verlos solamente, ( il manque un sujet à ce verbe ) tiene que visitar a todas las capitales de Europa. En efecto, gracias a la Inquisición, a las guerras civiles y exteriores, a los que (il manque un pronom personnel ) gustan las bibliotecas y viajan, los libros raros españoles lo están quizás más en España que en otra parte.
Hoy la biblioteca de Don Quijote haría fortuna de su propietario, y los aficionados pagarían mas( accent ) bien que su peso en oro estas novelas de caballeras que el cura y el barbero entregaban despiadadamente a Señora la aya.
Queramos leer, por ejemplo, en el alce, la única de estas novelas que pudo recibir la aprobación de estos jueces rigurosos. Tirante el Blanco que Cervantes llama « un tresoro (orthographe ) de alegría, una mina de diversión inagotable », tenemos que ir a Londres, donde se encuentra el único ejemplar conocido de los amores( autre mot ) de las bibliotecas, antaño descubierto por Lord Grenville, y legado por él con su magnífica biblioteca en el( autre préposition ) museo británico.
Algunas obras de Cervantès( enlever l'accent ), él mismo, no están menos raras. Una colección completa de sus dramas es desconocida. Varias de sus comedias jamas( accent ) han( autre temps + autre auxiliaire ) impreso. Podemos decir la misma cosa con Calderon ( accent ) y Lope de Vega, y es probable que un basta ( il faut un adverbe ) gran número de obras, manuscritas o impresas, citadas con elogio por los literatos del siglo pasado, ha completamente desparecido hoy "
Bonne journée !
Réponse: Thème espagnol- la littérature espagnole de karukera971, postée le 19-01-2013 à 19:55:11 (S | E)
ahh MERCI beaucoup à vous deux (sigmarie et alienor64)!!!! j'ai corrigé selon vos commentaires et voici ce que ça donne :
El estudio de la literatura española tiene sus dificultades materiales, estas pueden sorprender.
En casi todas las lenguas de Europa, los autores que disfrutaron de gran reputación entre sus contemporáneos, los que sus obras ejercieron una influencia considerable sobre la afición pública, los autores clásicos, en una palabra, a menudo son impreso y reimpreso.
Para conocerlos todos, basta tener acceso a una biblioteca de segunda clase o de tercera. En España, es diferente. Allí, muchas obras del siglo XVI o del siglo XVII, escritoras por los más escritores ilustres, han vuelto ahora de una tal rareza que los eruditos tienen dificultad para conocerlos.
Mejor digamos : para verlos solamente, hay que visitar todas las capitales de Europa. En efecto, por causa de la Inquisición, las guerras civiles y exteriores, los que les gustan las bibliotecas y viajan, los libros raros españoles lo están quizás más en España que en otra parte.
Hoy la biblioteca de Don Quijote haría fortuna de su propietario, y los aficionados pagarían más que su peso en oro estas novelas de caballería que el cura y el barbero entregaban sin despiadadamente a la Señora aya.
Queramos leer, por ejemplo, en el original, la única de estas novelas que pudo recibir la aprobación de estos jueces rigurosos. Tirante el Blanco que Cervantes llama « un tesoro de alegría, una mina de diversión inagotable », tenemos que ir a Londres, donde se encuentra el único ejemplar conocido de los amantes de las bibliotecas, antaño descubierto por Lord Grenville, y legado por él con su magnífica biblioteca del Museo Británico.
Algunas obras de Cervantes, él mismo, no están menos raras. Una colección completa de sus dramas es desconocida. Varias de sus comedias jamás se han visto imprimidas. Lo mismo podemos decir con Calderón y Lope de Vega, y es probable que un bastante gran número de obras, manuscritas o impresas, citadas con elogio por los literatos del siglo pasado, han hoy en día completamente desparecidas.
Réponse: Thème espagnol- la littérature espagnole de alienor64, postée le 19-01-2013 à 23:40:16 (S | E)
Bonsoir Karukera
" El estudio de la literatura española tiene sus dificultades materiales, estas pueden sorprender.
En casi todas las lenguas de Europa, los autores que disfrutaron de gran reputación entre sus contemporáneos, los que sus obras ejercieron una influencia considerable sobre la afición pública ( mal exprimé : à reformuler avec d'autres termes ), los autores clásicos, en una palabra, a menudo son impreso y reimpreso( auxiliaire: " ser " :le participe passé s'accorde avec le sujet . De plus , le participe passé du verbe " éditer " , serait , à mon avis , plus adapté que " impreso ").
Para conocerlos todos, basta tener acceso a una biblioteca de segunda clase ( à déplacer après " tercera " ) o de tercera. En España, es diferente. Allí, muchas obras del siglo XVI o del siglo XVII, escritoras( participe passé du verbe " escribir ) por los más escritores ilustres( erreur de construction du superlatif : " article défini + nom + adverbe :más + adjectif " ou bien " article + adverbe : más + adjectif + nom ) , han vuelto( verbe pronominal : " volverse " = devenir ) ahora de una ( supprimer l'article ) tal rareza( autre mot : un adjectif ) ) que los eruditos tienen dificultad para conocerlos.
Mejor digamos : para verlos solamente( mettre l'adverbe en début de phrase ; " sólo " plutôt que " solamente " ), hay que visitar todas las capitales de Europa. En efecto, por causa de la Inquisición, las guerras civiles y exteriores, ( il manque une préposition ) los que les gustan las bibliotecas y viajan, los libros raros españoles lo están quizás más en España que en otra parte ( " otra parte " ¿de qué ? : à préciser ).
Hoy la biblioteca de Don Quijote haría ( il manque un article ) fortuna de su propietario, y los aficionados pagarían más que su peso en oro estas novelas de caballería que el cura y el barbero entregaban sin( à enlever : ça n'a aucun sens devant cet adverbe ) despiadadamente a la Señora aya.
Queramos leer, por ejemplo, en el original, la única de estas novelas que pudo recibir la aprobación de estos jueces rigurosos. Tirante el Blanco que Cervantes llama « un tesoro de alegría, una mina de diversión inagotable », tenemos que ir a Londres, donde se encuentra el único ejemplar conocido de los amantes de las bibliotecas, antaño descubierto por Lord Grenville, y legado por él con su magnífica biblioteca del( autre préposition ) Museo Británico.
Algunas obras de Cervantes, él mismo, no están menos raras( autre adjectif pour traduire "rare" ; "raro " en espagnol =" extraño" ). Una colección completa de sus dramas es desconocida. Varias de sus comedias jamás se han visto imprimidas. Lo mismo podemos decir con Calderón y Lope de Vega, y es probable que un bastante gran número de obras, manuscritas o impresas, citadas con elogio por los literatos del siglo pasado, han hoy en día completamente desparecidas( avec l'auxiliaire " haber " , le participe passé est toujours invariable + ne pas séparer le participe passé de l'auxilaire " haber " )."
Bonne soirée !
Réponse: Thème espagnol- la littérature espagnole de karukera971, postée le 20-01-2013 à 09:06:39 (S | E)
Merci encore alienor 64! j'ai de nouveau corrigé mes erreurs avec tes remarques et reformulé la deuxième phrase du texte comme tu me l'avais conseillé!
Qu'en penses tu?
El estudio de la literatura española tiene sus dificultades materiales, estas pueden sorprender.
En casi todas las lenguas de Europa, los autores que disfrutaron de gran reputación entre sus contemporáneos, es decir los autores clásicos, ejercieron una influencia considerable sobre la afición pública con sus obras y , en una palabra, son editados y reeditados a menudo.
Para conocerlos todos, basta tener acceso a una biblioteca de segunda clase. En España, es diferente. Allí, muchas obras del siglo XVI o del siglo XVII, escritas por los más ilustres escritores , se han vuelto ahora de tal rareza que los eruditos tienen dificultad para conocerlos.
Mejor digamos : para verlos sólo hay que visitar todas las capitales de Europa. En efecto, por causa de la Inquisición, de las guerras civiles y exteriores,de los que les gustan las bibliotecas y viajan, los libros raros españoles lo están quizás más en España que en otra parte.
Hoy la biblioteca de Don Quijote haría la fortuna de su propietario, y los aficionados pagarían más que su peso en oro estas novelas de caballería que el cura y el barbero entregaban despiadadamente a la Señora aya.
Queramos leer, por ejemplo, en el original, la única de estas novelas que pudo recibir la aprobación de estos jueces rigurosos. Tirante el Blanco que Cervantes llama « un tesoro de alegría, una mina de diversión inagotable », tenemos que ir a Londres, donde se encuentra el único ejemplar conocido de los amantes de las bibliotecas, antaño descubierto por Lord Grenville, y legado por él con su magnífica biblioteca a Museo Británico.
Algunas obras de Cervantes, él mismo, no están menos extrañas. Una colección completa de sus dramas es desconocida. Varias de sus comedias jamás se han visto imprimidas. Lo mismo podemos decir con Calderón y Lope de Vega, y es probable que un bastante gran número de obras, manuscritas o impresas, citadas con elogio por los literatos del siglo pasado, han desparecida completamente hoy en día.
Réponse: Thème espagnol- la littérature espagnole de alienor64, postée le 20-01-2013 à 15:23:30 (S | E)
Bonjour Karukera
"El estudio de la literatura española tiene sus dificultades materiales, estas pueden sorprender.
En casi todas las lenguas de Europa, los autores que disfrutaron de gran reputación entre sus contemporáneos, es decir los autores clásicos, ejercieron una influencia considerable sobre la afición pública(mal dit ; on peut écrire : " una influencia considerable para el desarollo de la literatura al alcance de todos ) con sus obras y , en una palabra, son editados y reeditados a menudo.
Para conocerlos todos , basta tener acceso a una biblioteca de segunda clase( c'est un peu péjoratif ! " en cualquier biblioteca "). En España, es diferente. Allí, muchas obras del siglo XVI o del siglo XVII, escritas por los más ilustres escritores ( répétition à éviter : " escritas ....escritores " qu'on peut remplacer par " autores " ) , se han vuelto ahora de tal rareza( mal dit ; " acaban por ser de tal escasez que ...." /ou bien :" tan escasas que ...." ) que los eruditos tienen dificultad para conocerlos( il s'agir des "obras " : mettre le pronom en enclise au féminin pluriel ).
Mejor digamos : para verlos ( il s'agit toujours des " obras " : pronom à accorder )sólo hay que visitar todas las capitales de Europa. En efecto, por causa de la Inquisición, de las guerras civiles y exteriores,de los( il manque la préposition : " a " ) que les gustan las bibliotecas yque viajan, los libros raros( raros = extraños / extravagantes . Ce n'est pas ce que vous voulez dire ! " escaso " = peu courant ") españoles lo están quizás más en España que en otra parte.
Hoy la biblioteca de Don Quijote haría la fortuna de su propietario, y los aficionados pagarían más que su peso en oro estas novelas de caballería que el cura y el barbero entregaban despiadadamente a la Señora aya.
Queramos leer, por ejemplo, en el original, la única de estas novelas que pudo recibir la aprobación de estos jueces rigurosos. Para descubrir la obra de Tirante el Blanco que Cervantes llama « un tesoro de alegría, una mina de diversión inagotable », tenemos que ir a Londres, donde se encuentra el único ejemplar conocido de los amantes de las bibliotecas, antaño descubierto por Lord Grenville, y legado por él con su magnífica biblioteca a(" al " contraction de "a + el " au masculin singulier ) Museo Británico.
Algunas obras de Cervantes, él mismo, no están menos extrañas(" extrañas"( = bizarres ) ou bien " escasas "( = peu courantes) ? ) . Una colección completa de sus dramas es desconocida. Varias de sus comedias jamás se han visto imprimidas. Lo mismo podemos decir con Calderón y Lope de Vega, y es probable que un bastante gran número de obras, manuscritas o impresas, citadas con elogio por los literatos del siglo pasado, han desparecida( erreur ! avec l'auxiliaire " haber" , le participe passé est toujours invariable ) completamente hoy en día.
Bon dimanche !
Réponse: Thème espagnol- la littérature espagnole de karukera971, postée le 20-01-2013 à 16:38:24 (S | E)
Bonjour alienor 64!
Que pensez-vous de cette traduction de la 2ème phrase?
"los autores que disfrutaron de una gran reputación entre sus contemporáneos, aquellos que ejercieron una influencia considerable sobre la afición pública, en una palabra, los autores clásicos, han sido a menudo impresos y reimpresos." je trouve qu'elle reste plus fidèle au texte.
Et je voulais savoir pourquoi ajouter la préposition a dans la phrase suivante : " que les gustan las bibliotecas y que viajan". Cela ne change t'il pas le sens de la phrase? l'auteur dans le texte original indique bien que c'est " grace à l’inquisition, aux guerres civiles et étrangères, aux bibliophiles voyageurs, les livres rares espagnols le sont peut-être plus en Espagne que partout ailleurs."
J'attends ta réponse ! Bon dimanche à toi aussi!!
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Modifié par karukera971 le 20-01-2013 16:39
Réponse: Thème espagnol- la littérature espagnole de sigmarie, postée le 20-01-2013 à 22:25:13 (S | E)
Bonjour!
"los autores que disfrutaron de una gran reputación entre sus contemporáneos, aquellos que ejercieron una influencia considerable sobre la afición pública cela n'existe pas il y a autre mot , en una palabra, los autores clásicos, han sido a menudo impresos y reimpresos." Imprimidos impresos dans ce cntexte n'est pas le mot correcte
-Gracias a la Inquisición... Je déjà lui signalé que le connecteur gracias a a, comme en français, un valeur positif... alors vous devez mettre: A consecuencia de / Por causa de.
-Mejor digamos que para verlos sólo hay que visitar todas las capitales de Europa...
-En efecto fómula muy francesa. Efectivamente , por causa de la Inquisición...
-los libros raros españoles
- a il manque l'article contracté Museo Británico.
-Algunas obras de Cervantes, él mismo, no están menos extrañas. Algunas obras del mismo Cervantes, no son menos extrañas ( Mieux poco conocidas...
-que un
- han desparecida desaparecido completamente hoy en día.
¡Saludos!
Réponse: Thème espagnol- la littérature espagnole de alienor64, postée le 20-01-2013 à 23:43:25 (S | E)
Bonsoir Karukera
"Que pensez-vous de cette traduction de la 2ème phrase?
"los autores que disfrutaron de una gran reputación entre sus contemporáneos, aquellos que ejercieron una influencia considerable sobre la afición pública, en una palabra, los autores clásicos, han sido a menudo impresos y reimpresos." je trouve qu'elle reste plus fidèle au texte.( Voir les notes que Sigmarie vient de vous donner , concernant cette phrase )
Et je voulais savoir pourquoi ajouter la préposition a dans la phrase suivante : " que les gustan las bibliotecas y que viajan". Cela ne change t'il pas le sens de la phrase?( Pas du tout ! La préposition " a " fait partie de la construction du verbe " gustar " . Vous devez écrire : " ....a los que les gustan las bibliotecas ..." ) l'auteur dans le texte original indique bien que c'est " grace à l’inquisition, aux guerres civiles et étrangères, aux bibliophiles voyageurs, les livres rares espagnols le sont peut-être plus en Espagne que partout ailleurs." " ( L 'Inquisition , les guerres ont commis tant d' horreurs que le mot : " Grâce à " est déplacé . Pour conserver l'idée que les ouvrages qui ont échappé à la destruction , à laquelle les destinaient l'Inquisition et la guerre civile , sont ceux qui ont été soigneusement cachés et mis hors d'atteinte , il vous faut le formuler autrement. " Por causa de ..." ,comme déjà suggéré . )
Bonne soirée !
Réponse: Thème espagnol- la littérature espagnole de karukera971, postée le 21-01-2013 à 21:36:15 (S | E)
Merci aliénor64 et sigmarie!!
Voici le texte corrigé encore une fois !
El estudio de la literatura española tiene sus dificultades materiales, estas pueden sorprender.
En casi todas las lenguas de Europa, los autores que disfrutaron de una gran reputación entre sus contemporáneos, aquellos que ejercieron una influencia considerable sobre la afición del público, en una palabra, los autores clásicos, han sido a menudo editados y reeditados."
Para conocerlos todos, basta tener acceso a una biblioteca de segunda clase. En España, es diferente. Allí, muchas obras del siglo XVI o del siglo XVII, escritas por los más ilustres autores , se han vuelto ahora de tan escasas que los eruditos tienen dificultad para conocerlas.
Mejor digamos que para verlas sólo hay que visitar todas las capitales de Europa. Efectivamente, por causa de la Inquisición, de las guerras civiles y exteriores,a los que les gustan las bibliotecas y que viajan, los libros escasos españoles abundan más en España que en otra parte.
Hoy la biblioteca de Don Quijote haría la fortuna de su propietario, y los aficionados pagarían más que su peso en oro estas novelas de caballería que el cura y el barbero entregaban despiadadamente a la Señora aya.
Queramos leer, por ejemplo, en el original, la única de estas novelas que pudo recibir la aprobación de estos jueces rigurosos. Para descubrir la obra Tirante el Blanco que Cervantes llama « un tesoro de alegría, una mina de diversión inagotable », tenemos que ir a Londres, donde se encuentra el único ejemplar conocido de los amantes de las bibliotecas, antaño descubierto por Lord Grenville, y legado por él con su magnífica biblioteca al Museo Británico.
Algunas obras del mismo Cervantes, no están poco conocidas. Una colección completa de sus dramas es desconocida. Varias de sus comedias jamás se han visto imprimidas. Lo mismo podemos decir con Calderón y Lope de Vega, y es probable que un bastante gran número de obras, manuscritas o impresas, citadas con elogio por los literatos del siglo pasado, han desparecido completamente hoy en día.
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Modifié par karukera971 le 21-01-2013 21:36
Réponse: Thème espagnol- la littérature espagnole de alienor64, postée le 22-01-2013 à 00:10:25 (S | E)
Bonsoir Karukera
C'est bien !
" El estudio de la literatura española tiene sus dificultades materiales, estas pueden sorprender.
En casi todas las lenguas de Europa, los autores que disfrutaron de una gran reputación entre sus contemporáneos, aquellos que ejercieron una influencia considerable sobre la afición del público, en una palabra, los autores clásicos, han sido a menudo editados y reeditados."
Para conocerlos todos, basta tener acceso a una biblioteca de segunda clase. En España, es diferente. Allí, muchas obras del siglo XVI o del siglo XVII, escritas por los más ilustres autores , se han vuelto ahora de( à enlever ) tan escasas que los eruditos tienen dificultad para conocerlas.
Mejor digamos que para verlas sólo hay que visitar todas las capitales de Europa. Efectivamente, por causa de la Inquisición, de las guerras civiles y exteriores,a los que les gustan las bibliotecas y que viajan, los libros escasos españoles abundan ( ne serait-ce pas le contraire ? ) más en España que en otra parte.
Hoy la biblioteca de Don Quijote haría la fortuna de su propietario, y los aficionados pagarían más que su peso en oro estas novelas de caballería que el cura y el barbero entregaban despiadadamente a la Señora aya.
Queramos leer, por ejemplo, en el original, la única de estas novelas que pudo recibir la aprobación de estos jueces rigurosos. Para descubrir la obra de Tirante el Blanco que Cervantes llama « un tesoro de alegría, una mina de diversión inagotable », tenemos que ir a Londres, donde se encuentra el único ejemplar conocido de los amantes de las bibliotecas, antaño descubierto por Lord Grenville, y legado por él con su magnífica biblioteca al Museo Británico."
Algunas obras del mismo Cervantes, no están poco conocidas( Le sens est un peu confus ! Pourquoi " poco " ? " menos " correspond au texte initial ). Una colección completa de sus dramas es desconocida. Varias de sus comedias jamás se han visto imprimidas. Lo mismo podemos decir con Calderón y Lope de Vega, y es probable que un bastante gran número de obras( On peut aussi dire : " ....y es probable que bastantes obras , manuscritas ...." ici , "bastantes " est adjectif ; la traduction sera : ".... d'assez nombreuses oeuvres , manuscrites ...." , manuscritas o impresas, citadas con elogio por los literatos del siglo pasado, han desparecido completamente hoy en día."
Bonne soirée !
Réponse: Thème espagnol- la littérature espagnole de karukera971, postée le 22-01-2013 à 06:56:07 (S | E)
Un grand grand merci à toi aliénor64!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Merci d'avoir donné de ton temps!!!!
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