[Espagnol]Correction/ La ville et les peintres
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Message de karukera971 posté le 13-01-2013 à 13:12:40 (S | E | F)
Bonjour!! serait-il possible de savoir si ma traduction de cet extrait est correcte?
Merci d'avance!
Texte francais :
Il y a quelque chose miraculeux dans cette connivence entre la ville et ce couple de peintres venus de la province, unis dans la même foi révolutionnaire, pour la glorification du passé amérindien du Mexique.
Alors, tout semble possible. Une invincible jeunesse émane de la ville, de chaque monument, de chaque visage. Aucune autre nation n'a tenu tête avec une telle ardeur au pouvoir de l'argent et aux menaces armées des impérialistes. Toutes les idées et les illusions de ce temps juvénile naissent à Mexico et nulle part ailleurs : l'art populaire, la renaissance indienne, la croyance dans une ère nouvelle où les peuples opprimés du Sud se verraient enfin rendre justice par les puissances privilégiées du Nord. C'est véritablement l'instant historique de la révolution – alors que sont encore présentes dans tous les esprits et les images fulgurantes des insurgés marchant dans les rues de la capitale- depuis l'Indépendance, premier espoir des nations accablées par la fatalité de la pauvreté et de l'injustice.
L'histoire de Diego et Frida-cette histoire d'amour inséparable de la foi en la révolution – est encore vivante aujourd'hui parce qu'elle se même à la lumière particulière du Mexique, à la rumeur de la vie quotidienne, à l'odeur des rues et des marchés, à la beauté des enfants dans les maisons poussiéreuses, à cette sorte de langueur nostalgique qui s'attarde au crépuscule sur les anciens monuments et les plus vieux arbres du monde.
Les vrais chefs-d'oeuvre ne changent pas, ne vieillissent pas. Aujourd'hui, dans un monde qui a connu tant de désillusions, alors que la beauté des cultures amérindiennes est quotidiennement bafouée par l'uniforme laideur des empires marchands, les images que nous ont laissées Diego et Frida- images d'amour, de recherche de la vérité, où la sensualité se même toujours à la souffrance-restent aussi fortes, aussi nécessaires. Dans l'histoire du Mexique, elles continuent à briller comme des braises vivantes, et leurs rougeoiements sont les purs joyaux des enfants démunis.
JMG Le Clézio, Diégo et Frida, 1993
Hay algo de milagroso en esta connivencia entre la puebla y esta pareja de pintores que han venidos de la provincia , unidos en la misma fe revolucionaria, para la glorificación del pasado amerindio de México.
Entonces, todo parece posible. Un invincible juventud emana de la puebla, de cada monumento, de cada cara. Ninguna otra nación ha plantada cara con una tal ardor al podre del dinero, amenazas armadas del imperialistos. Todos las ideas y los ilusiónes de este tiempo juvenil nacen a Mexico y en ninguna otra parte : el arte popular, el renacimiento indio, la creencia en una era nueva donde todos los pueblos oprimidos del Sud se verían al fin hacer justicia por todas las potencias priviliegados del Norte.
Es verdaderamente el momento histórico de la revolución – mientras que son presentes aún en todos los espíritus y las imagenes fulgurantes de los insurrectos caminando por las calles de la capital – desde la Independencia, primera esperanza de las naciónes agobiados por la fatalidad de la pobreza y de la injusticia.
La historia de Diego y Frida – esta historia de amor inseparable de la fe en la revolución – es aún via hoy porque se confunde con la luz especial de México, el rumor de la vida cotidiana, con el olor de las calles y de los mercados, con la belleza de los niños en las casas polvorientas, con esta especie de lanquidez nostálgica que se detene al anochecer sobre los antiguos monumentos y los antiguos árboles del mundo.
Las verdaderas obras maestras no cambian, no envejecen, mientras que la belleza de las culturas amerindias es a diario mofada por la uniforme fealdad de los imperios comerciales, las imagenes quienes dejaron a nos Diego y Frida – imagenes de amor, de busqueda de la verdad, donde la sensualidad se confunde siempre con el sufrimiento – quedan tantos fuertes, tantos necesarios. En la historia de México, siguen a brillar como brazas vias, y sus resplandores son los puros joyas de los niños despojados.
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Modifié par bridg le 13-01-2013 13:16
Titre
Message de karukera971 posté le 13-01-2013 à 13:12:40 (S | E | F)
Bonjour!! serait-il possible de savoir si ma traduction de cet extrait est correcte?
Merci d'avance!
Texte francais :
Il y a quelque chose miraculeux dans cette connivence entre la ville et ce couple de peintres venus de la province, unis dans la même foi révolutionnaire, pour la glorification du passé amérindien du Mexique.
Alors, tout semble possible. Une invincible jeunesse émane de la ville, de chaque monument, de chaque visage. Aucune autre nation n'a tenu tête avec une telle ardeur au pouvoir de l'argent et aux menaces armées des impérialistes. Toutes les idées et les illusions de ce temps juvénile naissent à Mexico et nulle part ailleurs : l'art populaire, la renaissance indienne, la croyance dans une ère nouvelle où les peuples opprimés du Sud se verraient enfin rendre justice par les puissances privilégiées du Nord. C'est véritablement l'instant historique de la révolution – alors que sont encore présentes dans tous les esprits et les images fulgurantes des insurgés marchant dans les rues de la capitale- depuis l'Indépendance, premier espoir des nations accablées par la fatalité de la pauvreté et de l'injustice.
L'histoire de Diego et Frida-cette histoire d'amour inséparable de la foi en la révolution – est encore vivante aujourd'hui parce qu'elle se même à la lumière particulière du Mexique, à la rumeur de la vie quotidienne, à l'odeur des rues et des marchés, à la beauté des enfants dans les maisons poussiéreuses, à cette sorte de langueur nostalgique qui s'attarde au crépuscule sur les anciens monuments et les plus vieux arbres du monde.
Les vrais chefs-d'oeuvre ne changent pas, ne vieillissent pas. Aujourd'hui, dans un monde qui a connu tant de désillusions, alors que la beauté des cultures amérindiennes est quotidiennement bafouée par l'uniforme laideur des empires marchands, les images que nous ont laissées Diego et Frida- images d'amour, de recherche de la vérité, où la sensualité se même toujours à la souffrance-restent aussi fortes, aussi nécessaires. Dans l'histoire du Mexique, elles continuent à briller comme des braises vivantes, et leurs rougeoiements sont les purs joyaux des enfants démunis.
JMG Le Clézio, Diégo et Frida, 1993
Hay algo de milagroso en esta connivencia entre la puebla y esta pareja de pintores que han venidos de la provincia , unidos en la misma fe revolucionaria, para la glorificación del pasado amerindio de México.
Entonces, todo parece posible. Un invincible juventud emana de la puebla, de cada monumento, de cada cara. Ninguna otra nación ha plantada cara con una tal ardor al podre del dinero, amenazas armadas del imperialistos. Todos las ideas y los ilusiónes de este tiempo juvenil nacen a Mexico y en ninguna otra parte : el arte popular, el renacimiento indio, la creencia en una era nueva donde todos los pueblos oprimidos del Sud se verían al fin hacer justicia por todas las potencias priviliegados del Norte.
Es verdaderamente el momento histórico de la revolución – mientras que son presentes aún en todos los espíritus y las imagenes fulgurantes de los insurrectos caminando por las calles de la capital – desde la Independencia, primera esperanza de las naciónes agobiados por la fatalidad de la pobreza y de la injusticia.
La historia de Diego y Frida – esta historia de amor inseparable de la fe en la revolución – es aún via hoy porque se confunde con la luz especial de México, el rumor de la vida cotidiana, con el olor de las calles y de los mercados, con la belleza de los niños en las casas polvorientas, con esta especie de lanquidez nostálgica que se detene al anochecer sobre los antiguos monumentos y los antiguos árboles del mundo.
Las verdaderas obras maestras no cambian, no envejecen, mientras que la belleza de las culturas amerindias es a diario mofada por la uniforme fealdad de los imperios comerciales, las imagenes quienes dejaron a nos Diego y Frida – imagenes de amor, de busqueda de la verdad, donde la sensualidad se confunde siempre con el sufrimiento – quedan tantos fuertes, tantos necesarios. En la historia de México, siguen a brillar como brazas vias, y sus resplandores son los puros joyas de los niños despojados.
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Modifié par bridg le 13-01-2013 13:16
Titre
Réponse: [Espagnol]Correction/ La ville et les peintres de sigmarie, postée le 13-01-2013 à 19:29:07 (S | E)
Bonjour!
Hay algo de milagroso en esta connivencia entre la puebla autre nom,,, vous avez mis en français: ville y esta pareja de pintores que han venidos erreur de la provincia , unidos en la misma fe revolucionaria, para la glorificación del pasado amerindio de México.
Entonces, todo parece posible. Un féminin invincible erreur juventud emana de la pueblaLe même erreur , de cada monumento, de cada cara. Ninguna otra nación ha plantada ereur cara con
Es verdaderamente el momento histórico de la revolución – mientras que son verbe estar presentes aún en todos los espíritus y las imagenes accent fulgurantes de los insurrectos caminando por las calles de la capital – desde la Independencia, primera esperanza de las naciónes sans accent agobiados féminin! por la fatalidad de la pobreza y
La historia de Diego y Frida – esta historia de amor inseparable de la fe en la revolución – es aún via erreur hoy porque se confunde con la luz especial de México, el rumor de la vida cotidiana, con el olor de las calles y de los mercados, con la belleza de los niños en las casas polvorientas, con esta especie de lanquidez erreur nostálgica que se detene erreur al anochecer sobre los antiguos monumentos y los antiguos árboles del mundo.
Las verdaderas obras maestras no cambian, no envejecen, mientras que la belleza de las culturas amerindias es a diario mofada por la uniforme fealdad de los imperios comerciales, las imagenes accent quienes otro pronombre relativo dejaron a nos pronom mal placé Diego y Frida – imagenes accent de amor, de busqueda de la verdad, donde la sensualidad se confunde siempre con el sufrimiento – quedan tantos erreur fuertes, tantos erreur necesarios. En la historia de México, siguen a brillar autre temps verbal como brazas??? vias, y sus resplandores son los puros féminin joyas de los niños despojados despojados ¿ De qué?.
Attention aux noms féminis !
Vous avez dit: puebla, il y a une ville appelée Puebla, mais en votre texte français vous avez mis: ville... alors...
Le texte que vous avez choisi est assez complexe et technique.
¡Saludos!
Réponse: [Espagnol]Correction/ La ville et les peintres de karukera971, postée le 13-01-2013 à 20:55:22 (S | E)
Bonsoir, merci d'avoir pris le temps de me corriger!!!! j'ai quelques petites questions. Dois-je remplacer via par vivida?
Langueur = lanquidez? et s'attarder= detenerse? (dans le dictionnaire, c'est la traduction que je trouve)
Dois je mettre "que" à la place de "quienes"? et "tal" pour "tantos"?
Réponse: [Espagnol]Correction/ La ville et les peintres de ariane6, postée le 13-01-2013 à 22:36:03 (S | E)
Bonsoir,
Dois-je remplacer via par vivida? Non,ce n'est ni l'un ni l'autre...
Langueur = lanquidez? attention orthographe.
et s'attarder= detenerse? C'est bien le verbe detenerse, mais vérifiez la forme conjuguée.
Dois je mettre "que" à la place de "quienes"? Oui
et "tal" pour "tantos"? Non, ici c'est tan.
Réponse: [Espagnol]Correction/ La ville et les peintres de sigmarie, postée le 14-01-2013 à 15:56:54 (S | E)
Bonjour!
En la historia de México, siguen a brillar autre temps verbal como brazas??? vias, Je ne comprends pas ce nom "brazas"... vias ???.
"Que" à la place de "quienes"? Oui
donde la sensualidad se confunde siempre con el sufrimiento – quedan tan fuertes, tan necesarios.... Mieux: quedan tan fuertes y necesarios.
Il serait utile que vous écrivez le texte corrigé.
¡Saludos!
Réponse: [Espagnol]Correction/ La ville et les peintres de karukera971, postée le 14-01-2013 à 16:47:51 (S | E)
Bonsoir, merci pour vos réponses. Je pense que cette fois-ci c'est la bonne. Voici le texte corrigé avec vos explications.
Hay algo de milagroso en esta connivencia entre la ciudad y esta pareja de pintores que han venido de la provincia , unidos en la misma fe revolucionaria, para la glorificación del pasado amerindio de México.
Entonces, todo parece posible. Una invencible juventud emana de la ciudad, de cada monumento, de cada cara. Ninguna otra nación ha plantado cara con tal ardor al poder del dinero, amenazas armadas de las imperialistas. Todas las ideas y las ilusiones de este tiempo juvenil nacen en Mexico y en ninguna otra parte : el arte popular, el renacimiento indio, la creencia en una era nueva donde todos los pueblos oprimidos del Sur se verían al fin hacer justicia por todas las priviliegadas potencias del norte.
Es verdaderamente el momento histórico de la revolución – mientras que están presentes aún en todos los espíritus y las imágenes fulgurantes de los insurrectos caminando por las calles de la capital – desde la Independencia, primera esperanza de las naciones agobiadas por la fatalidad de la pobreza y la injusticia.
La historia de Diego y Frida – esta historia de amor inseparable de la fe en la revolución – es aún viva hoy porque se confunde con la luz especial de México, el rumor de la vida cotidiana, con el olor de las calles y de los mercados, con la belleza de los niños en las casas polvorientas, con esta especie de languidez nostálgica que se detene al anochecer sobre los antiguos monumentos y los antiguos árboles del mundo.
Las verdaderas obras maestras no cambian, no envejecen, mientras que la belleza de las culturas amerindias es a diario mofada por la uniforme fealdad de los imperios comerciales, las imágenes que nos dejaron a Diego y Frida – imágenes de amor, de busqueda de la verdad, donde la sensualidad se confunde siempre con el sufrimiento – quedan tan fuertes y necesarios. En la historia de México, siguen a brillando como brasas vivas, y sus resplandores son las puras joyas de los niños despojados.
Réponse: [Espagnol]Correction/ La ville et les peintres de ariane6, postée le 14-01-2013 à 17:15:43 (S | E)
Bonsoir,
-imperialistas est masculin
- hacer justicia por ... o contra ?
-espiritus
- que nos dejaron
- siguen
Réponse: [Espagnol]Correction/ La ville et les peintres de karukera971, postée le 14-01-2013 à 17:31:35 (S | E)
Bonsoir,
J'ai recherché dans un dico et impérialiste est bien féminin en espagnol.
la phrase à traduire est "... la croyance dans une ère nouvelle où les peuples opprimés du Sud se verraient enfin rendre justice par les puissances privilégiées du Nord."
Ensuite, tu as tout a fait raison. Il n'y a pas de "et" dans la version originale. Je m'en excuse. et j'ai corrigé le siguen a brillando. J'espère maintenant que celle-ci est vraiment la bonne.
Hay algo de milagroso en esta connivencia entre la ciudad y esta pareja de pintores que han venido de la provincia , unidos en la misma fe revolucionaria, para la glorificación del pasado amerindio de México.
Entonces, todo parece posible. Una invencible juventud emana de la ciudad, de cada monumento, de cada cara. Ninguna otra nación ha plantado cara con tal ardor al poder del dinero, amenazas armadas de las imperialistas. Todas las ideas y las ilusiones de este tiempo juvenil nacen en Mexico y en ninguna otra parte : el arte popular, el renacimiento indio, la creencia en una era nueva donde todos los pueblos oprimidos del Sur se verían al fin hacer justicia por todas las priviliegadas potencias del norte.
Es verdaderamente el momento histórico de la revolución – mientras que están presentes aún en todos los espíritus las imágenes fulgurantes de los insurrectos caminando por las calles de la capital – desde la Independencia, primera esperanza de las naciones agobiadas por la fatalidad de la pobreza y la injusticia.
La historia de Diego y Frida – esta historia de amor inseparable de la fe en la revolución – es aún viva hoy porque se confunde con la luz especial de México, el rumor de la vida cotidiana, con el olor de las calles y de los mercados, con la belleza de los niños en las casas polvorientas, con esta especie de languidez nostálgica que se detene al anochecer sobre los antiguos monumentos y los antiguos árboles del mundo.
Las verdaderas obras maestras no cambian, no envejecen, mientras que la belleza de las culturas amerindias es a diario mofada por la uniforme fealdad de los imperios comerciales, las imágenes que nos dejaron Diego y Frida – imágenes de amor, de busqueda de la verdad, donde la sensualidad se confunde siempre con el sufrimiento – quedan tan fuertes y necesarios. En la historia de México, siguen brillando como brasas vivas, y sus resplandores son las puras joyas de los niños despojados.
Réponse: [Espagnol]Correction/ La ville et les peintres de boulettedviande, postée le 14-01-2013 à 19:59:43 (S | E)
Ton prof d'espagnol du lycée Henri IV doit être très content avec toi :-)
Réponse: [Espagnol]Correction/ La ville et les peintres de karukera971, postée le 14-01-2013 à 20:29:18 (S | E)
Je l'espère!!!
Réponse: [Espagnol]Correction/ La ville et les peintres de sigmarie, postée le 15-01-2013 à 15:45:51 (S | E)
Bonjour!
J'ai recherché dans un dico et impérialiste est bien féminin en espagnol.
de las los!!! imperialistas. Si usted dice: fuerzas imperialistas/ potencias imperialistas , es obvio que es femenino, si usted habla de los países imperialistas el artículo será masculino. Usted en su texto ha escrito: amenazas armadas de las imperialistas, entonces está mal expresado, ya que sería: amenazas armadas de las naciones/ potencias imperialistas. Si usted no indica esto sería masculino el artículo "los"
Los puntos cardinales: norte, sur, este y oeste , se escriben en minúscula.
una era nueva donde todos los pueblos oprimidos del Ssur se sin pronombre verían al fin hacer justicia por todas las priviliegadas potencias del norte. Esta frase queda un poco rara.
esta historia de amor inseparable de la fe en la revolución – es está aún viva hoy...
que se detene erreur
¡Saludos!
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Modifié par sigmarie le 15-01-2013 16:14
Réponse: [Espagnol]Correction/ La ville et les peintres de ariane6, postée le 15-01-2013 à 16:51:12 (S | E)
Bonjour,
En effet, imperialista n'est ni masculin ni féminin, puisque c'est un adjectif dont la terminaison ne change pas. Ici, pris comme substantif, c'est l'article qui est masculin. ( los imperialistas).
Pour mieux se rapprocher du texte, on pourrait dire :
una era nueva donde todos los pueblos oprimidos del sur verían al fin reconocer sus derechos por todas las priviliegadas potencias del norte.
Réponse: [Espagnol]Correction/ La ville et les peintres de sigmarie, postée le 16-01-2013 à 14:10:55 (S | E)
Bonjour!
Attention:
priviliegadas: privilegiadas de privilegio.
¡Saludos!
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