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[Espagnol]Autre traduction
Message de sabrinaaa posté le 13-02-2011 à 16:00:30 (S | E | F)
Hola
puede usted corregirme por favor ? gracias
texte à traduire :
Un día se levantó y se volvió a sentar. Tenía en sus manos un libro titulado las cien mejores poesías castellanas de Marcelino Menéndez Pelayo. Desde entonces destinaba todos los días un rato de ocio a la lectura de aquel libro. A veces lo dejaba abierto en su regazo y quedaba abstraído mirando la película que proyectaba el cielo en la galería de la sala o cerraba los ojos en un soñar despierto. Instruyó a la servidumbre para que nadie lo interrumpiese, y ellos incorporaron une nueva expresión, como si se tratase de una nueva inveterada costumbre: El señor está con el libro.
Las manías del abuelo eran sagradas y nadie se preocupó demasiado por aquella repentina afición, que atribuían al reblandecimiento del seso propio de la edad. Pero un día dió un paso adelante y recitó ante la familia, en el comedor, la primera estofa de las Cpolas de Jorge Manrique a la muerte de su padre. El efecto que causó, la esmoción de la abuela Leonor y la expresión atónita del resto, le hizo descubrir una dimensión del triunfo humano que hasta entonces no había conocido
MON TEXTE A CORRIGER :
Un jour, il se leva et se rassit. Il avait dans ses mains un livre intitulé Les cent meilleures poésies castillanes de Marcelino Menéndez Pelayo. Jusqu'à présent, il gardait tous les jours un moment de loisir pour la lecture de ce livre. Parfois il le laissait ouvert sur son giron et restait abstrait en regardant le film que projetait le ciel dans la galerie de la salle ou il fermait les yeux dans un rêve éveillé. Il s'instruit (no entiendo la palabra "servidumbre") indépendamment pour que personne ne puisse l'interrompre ; et ils avaient une nouvelle expression, comme s'il s'agissait d'une habitude ancrée: le monsieur avec son livre.
Les manies du grand-père étaient sacrées et personne ne se préoccupa trop de ce soudain penchant, qui attribuait le ramollissement de la propre cervelle de l'âge. Mais un jour, il a fait une promenade devant et a récité devant sa famille, dans la salle à manger,la première strophe des Couplets de Jorge Manrique à la mort de son père. L'effet que que cela causa, l'émotion de la grand-mère Leonor et l'expression sans voix du reste, lui a fait découvrir une dimension du triomphe humain qui jusqu'à aujourd'hui il n'avait jamais connu.
Message de sabrinaaa posté le 13-02-2011 à 16:00:30 (S | E | F)
Hola
puede usted corregirme por favor ? gracias
texte à traduire :
Un día se levantó y se volvió a sentar. Tenía en sus manos un libro titulado las cien mejores poesías castellanas de Marcelino Menéndez Pelayo. Desde entonces destinaba todos los días un rato de ocio a la lectura de aquel libro. A veces lo dejaba abierto en su regazo y quedaba abstraído mirando la película que proyectaba el cielo en la galería de la sala o cerraba los ojos en un soñar despierto. Instruyó a la servidumbre para que nadie lo interrumpiese, y ellos incorporaron une nueva expresión, como si se tratase de una nueva inveterada costumbre: El señor está con el libro.
Las manías del abuelo eran sagradas y nadie se preocupó demasiado por aquella repentina afición, que atribuían al reblandecimiento del seso propio de la edad. Pero un día dió un paso adelante y recitó ante la familia, en el comedor, la primera estofa de las Cpolas de Jorge Manrique a la muerte de su padre. El efecto que causó, la esmoción de la abuela Leonor y la expresión atónita del resto, le hizo descubrir una dimensión del triunfo humano que hasta entonces no había conocido
MON TEXTE A CORRIGER :
Un jour, il se leva et se rassit. Il avait dans ses mains un livre intitulé Les cent meilleures poésies castillanes de Marcelino Menéndez Pelayo. Jusqu'à présent, il gardait tous les jours un moment de loisir pour la lecture de ce livre. Parfois il le laissait ouvert sur son giron et restait abstrait en regardant le film que projetait le ciel dans la galerie de la salle ou il fermait les yeux dans un rêve éveillé. Il s'instruit (no entiendo la palabra "servidumbre") indépendamment pour que personne ne puisse l'interrompre ; et ils avaient une nouvelle expression, comme s'il s'agissait d'une habitude ancrée: le monsieur avec son livre.
Les manies du grand-père étaient sacrées et personne ne se préoccupa trop de ce soudain penchant, qui attribuait le ramollissement de la propre cervelle de l'âge. Mais un jour, il a fait une promenade devant et a récité devant sa famille, dans la salle à manger,la première strophe des Couplets de Jorge Manrique à la mort de son père. L'effet que que cela causa, l'émotion de la grand-mère Leonor et l'expression sans voix du reste, lui a fait découvrir une dimension du triomphe humain qui jusqu'à aujourd'hui il n'avait jamais connu.
Réponse: [Espagnol]Autre traduction de comtesse08, postée le 13-02-2011 à 16:47:51 (S | E)
desde entonces =depuis
la servidumbre=le personnel(les domestiques)
dio instrucciones...il donna des instructions pour qu'on ne le dérange pas
el reblandecimiendo del seso proprio ... le ramollissement du cerveau dû à l'âge
C'est ainsi que je traduirais ces morceaux de phrases;d'autre part,j'écrirais plutôt:il avait un livre dans "les "mains. J'espère vous avoir aidé.
Réponse: [Espagnol]Autre traduction de comtesse08, postée le 13-02-2011 à 17:26:43 (S | E)
dio un paso adelante=il fit un pas en avant
Réponse: [Espagnol]Autre traduction de sigmarie, postée le 13-02-2011 à 17:52:00 (S | E)
estofa---> estrofa.
Cpolas -----> Coplas
esmoción----> emoción
Réponse: [Espagnol]Autre traduction de sabrinaaa, postée le 13-02-2011 à 18:34:48 (S | E)
Vale muchs gracias. Si pero pour "les" mains, on m'a toujours dit que en espagnol on ne mettait jamais les possessifs, c'est toujours sous-entendu alors je ne sais pas, peut-être que vous avez raisons. Merci.
Réponse: [Espagnol]Autre traduction de sigmarie, postée le 14-02-2011 à 11:36:42 (S | E)
En espagnol, vous pouvez mettre un possessif dans "les mains".Par exem: _ Esto no está en mis manos" , ou altre possessif. Comtesse08 a de raison.
Réponse: [Espagnol]Autre traduction de sabrinaaa, postée le 14-02-2011 à 12:13:47 (S | E)
Vale muchas gracias a todos, corrigé todo, puede usted decirme si es correcto ? Por favor
texte à traduire :
Un día se levantó y se volvió a sentar. Tenía en sus manos un libro titulado las cien mejores poesías castellanas de Marcelino Menéndez Pelayo. Desde entonces destinaba todos los días un rato de ocio a la lectura de aquel libro. A veces lo dejaba abierto en su regazo y quedaba abstraído mirando la película que proyectaba el cielo en la galería de la sala o cerraba los ojos en un soñar despierto. Instruyó a la servidumbre para que nadie lo interrumpiese, y ellos incorporaron une nueva expresión, como si se tratase de una nueva inveterada costumbre: El señor está con el libro.
Las manías del abuelo eran sagradas y nadie se preocupó demasiado por aquella repentina afición, que atribuían al reblandecimiento del seso propio de la edad. Pero un día dió un paso adelante y recitó ante la familia, en el comedor, la primera estrofa de las Coplas de Jorge Manrique a la muerte de su padre. El efecto que causó, la emoción de la abuela Leonor y la expresión atónita del resto, le hizo descubrir una dimensión del triunfo humano que hasta entonces no había conocido
MON TEXTE A CORRIGER :
Un jour, il se leva et se rassit. Il avait dans ses mains un livre intitulé Les cent meilleures poésies castillanes de Marcelino Menéndez Pelayo. Jusqu'à présent, il gardait tous les jours un moment de loisir pour la lecture de ce livre. Parfois il le laissait ouvert sur son giron et restait abstrait en regardant le film que projetait le ciel dans la galerie de la salle ou il fermait les yeux dans un rêve éveillé. Il donna des instructions aux domestiques afin que personne ne puisse l'interrompre ; et ils avaient une nouvelle expression, comme s'il s'agissait d'une habitude ancrée: le monsieur avec son livre.
Les manies du grand-père étaient sacrées et personne ne se préoccupa trop de ce soudain penchant, qui attribuait le ramollissement de la propre cervelle de l'âge. Mais un jour, il a fit un pas en avant et récita devant sa famille, dans la salle à manger, la première strophe des Couplets de Jorge Manrique à la mort de son père. L'effet que que cela causa, l'émotion de la grand-mère Leonor et l'expression sans voix du reste, lui a fait découvrir une dimension du triomphe humain qui jusqu'à aujourd'hui il n'avait jamais connu.
Réponse: [Espagnol]Autre traduction de galizano, postée le 14-02-2011 à 12:48:15 (S | E)
Quelques observations supplémentaires .
Un jour, il se leva et se rassit. Il avait dans ses mains un livre intitulé Les cent meilleures poésies castillanes de Marcelino Menéndez Pelayo. Jusqu'à présent,'(dès lors) il gardait(consacrait) tous les jours un moment de loisir pour la lecture de ce livre. Parfois il le laissait ouvert sur son giron(sur ses genoux) et restait abstrait(distrait,absorbé) en regardant le film que projetait le ciel dans la galerie de la salle ou
Les manies du grand-père étaient sacrées et personne ne se préoccupa trop de ce soudain penchant, qui attribuait le ramollissement de la propre cervelle de l'âge. Mais un jour, il
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Cette correction concerne ta première ébauche . je viens de m'apercevoir que tu en as fait une autre que je n'ai pas corrigéé.
Un día se levantó y se volvió a sentar. Tenía en sus manos un libro titulado las cien mejores poesías castellanas de Marcelino Menéndez Pelayo. Desde entonces destinaba todos los días un rato de ocio a la lectura de aquel libro. A veces lo dejaba abierto en su regazo y quedaba abstraído mirando la película que proyectaba el cielo en la galería de la sala, o cerraba los ojos en un soñar despierto. Instruyó a la servidumbre para que nadie lo interrumpiese, y ellos incorporaron une nueva expresión, como si se tratase de una nueva inveterada costumbre: El señor está con el libro.
Las manías del abuelo eran sagradas y nadie se preocupó demasiado por aquella repentina afición, que atribuían al reblandecimiento del seso propio de la edad. Pero un día dió un paso adelante y recitó ante la familia, en el comedor, la primera estrofa de las Coplas de Jorge Manrique a la muerte de su padre. El efecto que causó, la emoción de la abuela Leonor y la expresión atónita del resto, le hizo descubrir una dimensión del triunfo humano que hasta entonces no había conocido
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Modifié par galizano le 14-02-2011 12:50
Réponse: [Espagnol]Autre traduction de sabrinaaa, postée le 14-02-2011 à 13:14:21 (S | E)
Ah merci beaucoup pour cette correction, c'est très aimable de votre part. Oui, j'ai un deuxième texte ;)
Réponse: [Espagnol]Autre traduction de galizano, postée le 14-02-2011 à 14:20:15 (S | E)
qui attribuait le ramollissement de la propre cervelle de l'âge. Que c'est mal dit ! Tu n'as pas tenu compte de la remarque de comtesse.
"que atribuían al reblandecimiento del seso propio de la edad."
qu'ils attribuaient au ramollissement de son cerveau propre à son âge.
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