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[Allemand]Traduction /Die Soldaten
Message de andreazin posté le 22-12-2008 à 18:19:20 (S | E | F)
j'ai un thème à rendre pour la rentrée .je conviens qu'il soit assez difficile (il s'agit d'un extrait de roman) mais si quelqu'un pouvait corriger les fautes. merci d'avance
Il y avait eu le mois d'août 1914.Et septembre ...octobre...novembre...décembre...La guerre avait pris pour noms tour à tour
thann, le grand couronné et charleroi ; puis la marne et la course à la mer ; enfin les noms de toutes les tranchées qui allaient des flandres à la suisse .
Alors le front fut saisi par le gel.
Alors, derrière cette immense muraille renversée dans la terre , les gens pensèrent tous que leurs habitudes et les habitudes de leur petit univers étaient destinées à durer pour eux et leurs fils et les fils de leurs fils
Les soldats portaient bien le même pantalon rouge .Il y avait toujours , dans les grands bazars, des rayons d'objets à un sou.Et monsieur poincarré étant le président de la république , on retrouvait, aux conseils de gouvernement , les mêmes ministres si connus que tous les Français pouvaient les croire un peu de leur propre famille .
Es hatte im August Monaten 1914 gegeben. Und September ... Oktober ... November ... Dezember... Der Krieg hatte für Namen abwechseln Thann, das große Gekrönte und charleroi gehalten dann der Mergel und der Lauf am Meer; schliesslich die Namen aller Gräben, die aus Flandern in Kirchendiener gingen
Dann war die Gräben durch den Frost erfasst.
Dann hinter dieser riesigen Erde umwerfenden Mauer, dachten die Leute alle, daß ihre Gewohnheiten und die Gewohnheiten ihrer kleinen Welt vorgesehen waren, für sie und ihre Söhne und die Söhne von ihren Söhnen zu dauern
Die Soldaten trugen dieselbe rote Hose .es gab immer, in den großen Basaren, Regalen von Gegenständen. Und herr poincarré der Staatspräsident fand man, in den Regierungsräten, dieselben so bekannten Minister wieder, dass ihnen alle Franzosen ein wenige auf ihre eigene Familie zu gehoren glauben konnten.
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Modifié par lucile83 le 22-12-2008 18:21
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Message de andreazin posté le 22-12-2008 à 18:19:20 (S | E | F)
j'ai un thème à rendre pour la rentrée .je conviens qu'il soit assez difficile (il s'agit d'un extrait de roman) mais si quelqu'un pouvait corriger les fautes. merci d'avance
Il y avait eu le mois d'août 1914.Et septembre ...octobre...novembre...décembre...La guerre avait pris pour noms tour à tour
thann, le grand couronné et charleroi ; puis la marne et la course à la mer ; enfin les noms de toutes les tranchées qui allaient des flandres à la suisse .
Alors le front fut saisi par le gel.
Alors, derrière cette immense muraille renversée dans la terre , les gens pensèrent tous que leurs habitudes et les habitudes de leur petit univers étaient destinées à durer pour eux et leurs fils et les fils de leurs fils
Les soldats portaient bien le même pantalon rouge .Il y avait toujours , dans les grands bazars, des rayons d'objets à un sou.Et monsieur poincarré étant le président de la république , on retrouvait, aux conseils de gouvernement , les mêmes ministres si connus que tous les Français pouvaient les croire un peu de leur propre famille .
Es hatte im August Monaten 1914 gegeben. Und September ... Oktober ... November ... Dezember... Der Krieg hatte für Namen abwechseln Thann, das große Gekrönte und charleroi gehalten dann der Mergel und der Lauf am Meer; schliesslich die Namen aller Gräben, die aus Flandern in Kirchendiener gingen
Dann war die Gräben durch den Frost erfasst.
Dann hinter dieser riesigen Erde umwerfenden Mauer, dachten die Leute alle, daß ihre Gewohnheiten und die Gewohnheiten ihrer kleinen Welt vorgesehen waren, für sie und ihre Söhne und die Söhne von ihren Söhnen zu dauern
Die Soldaten trugen dieselbe rote Hose .es gab immer, in den großen Basaren, Regalen von Gegenständen. Und herr poincarré der Staatspräsident fand man, in den Regierungsräten, dieselben so bekannten Minister wieder, dass ihnen alle Franzosen ein wenige auf ihre eigene Familie zu gehoren glauben konnten.
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Modifié par lucile83 le 22-12-2008 18:21
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Réponse: [Allemand]Traduction /Die Soldaten de duchemeu, postée le 25-12-2008 à 12:37:27 (S | E)
bonjour,
malgré le caractère assez rébarbatif de ce texte français je vous propose qq modifications par rapport à votre traduction :
August 1914 war vergangen (ou bien vorbei). Und September ... Oktober ... November ... Dezember... Der Krieg hatte für (als) Namen abwechseln Thann, das große Gekrönte(s'agissant probablement d'un nom propre il n'est peut être pas indispensable de traduire) und charleroi gehalten(tout simplement "gehabt") dann der Mergel und der Lauf am (zum) Meer; schliesslich die Namen aller Gräben, die aus Flandern in Kirchendiener gingen (führten plutôt que gingen : en effet les tranchées ne marchent pas mais conduisent plutôt)
Dann war die Gräben (die "Front" plutôt car Graben, c'est la tranchée) durch den Frost erfasst.
Dann hinter dieser riesigen in die Erde umgeworfenen Mauer(bien que français de langue maternelle je ne comprends pas ce que signifie "immense muraille renversée dans la terre, ma suggestion est donc à prendre avec des pincettes), dachten die Leute alle(alle me semble devoir venir à la place de "die"), daß ihre Gewohnheiten und die Gewohnheiten ihrer kleinen Welt , für sie und ihre Söhne und die Söhne von ihren Söhnen zu dauern vorgesehen waren(déplacement du verbe principal à la fin)
Die Soldaten trugen dieselbe rote Hose .es gab immer, in den großen Basaren, Regalen von Gegenständen. Und neben herr Poincarré der Staatspräsident, fand man in den Regierungsräten, dieselben so bekannten Minister wieder, so dass ihnen(Sie) alle Franzosen ein wenige auf(an) ihre eigene Familie zu gehoren glauben konnten.
Réponse: [Allemand]Traduction /Die Soldaten de duchemeu, postée le 25-12-2008 à 20:14:01 (S | E)
petit complément :
"Die Soldaten trugen dieselbe rote Hose .es gab immer, in den großen Basaren, Regalen von Gegenständen. Und neben herrn(neben+datif dans ce cas de figure : absence de mouvement) Poincarré dem Staatspräsident, fand man in den Regierungsräten, dieselben so bekannten Minister wieder, so dass ihnen(Sie) alle Franzosen ein wenige auf(an) ihre eigene Familie zu gehoren glauben konnten.