Traduire un texte espagnol en français
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Message de grey posté le 16-12-2020 à 15:24:35 (S | E | F)
Je dois traduire ce texte pour mes études mais j'ai beaucoup de mal... aidez moi s'il vous plaît !
voici le texte en espagnol :
Al abrir los postigos vio un cielo cubierto y una lluvia fina que humedecía los tejados ; de repente recordó el nombre de aquel fenómeno en español: calabobos, un nombre adecuado a su persona. La resaca producida por los excesos de la víspera no le impedía percibir con nitidez lo dramático de su situación. El malestar físico y la angustia le produjeron náuseas. Le habría sentado bien comer algo sólido y tomarse un café bien cargado, pero descartó la idea porque se había quedado sin un céntimo y, sin pasaporte, no podía acudir a un banco. No le quedaba otra salida que acudir a la Embajada británica en busca de auxilio, por más que le avergonzara presentarse ante un displicente funcionario como el más inocente de los turistas.
Cobijándose de la lluvia bajo los aleros echó a andar por la calle del Prado, mientras iba pensando en la mejor manera de darse a conocer en la Embajada, careciendo como carecía de documentación acreditativa de su identidad. Bastaría con dar su nombre si algún funcionario concocía sus escritos sobre pintura española del Siglo de Oro. En caso contrario, se vería obligado a recurrir a sus amistades en el Foreign Office, si bien esta eventualidad le producía cierta inquietud, porque su amigo en el Foreign Office era un antiguo condiscípulo de Cambridge, en la actualidad el marido de Catherine, con quien le había estado engañando los últimos anos y de la que, si la carta de ruptura ya había llegado a sus manos, cabía esperar una reacción airada o tal vez la confesión de su aventura amorosa […] Pero, si no le amparaba la Embajada, ¿Cómo resolver una situación que se le antojaba desesperada? La única alternativa era contarle lo ocurrido al duque de la Igualada y ponerse bajo su protección […]
Había llegado a Neptuno cuando arreció la lluvia. No sabiendo dónde refugiarse, ganó en dos zancadas las escaleras del Museo del Prado y se dirigió a la taquilla. Dado lo temprano de la hora y la escasez de visitantes, la taquillera lo reconoció y, con una amabilidad que en medio de su desamparó le resultó conmovedora, le dejó pasar sin pedirle una credencial que también le habían robado. Ya bajo techo, y todavía irresoluto sobre el camino a seguir, dejó que sus pasos le llevaran una vez más a la sala de Velázquez.
et voici ma traduction :
Lors de l’ouverture des/ en ouvrant les volets il vit un ciel couvert et une pluie fine qui humectait les toits ; tout à coup il se souvint du nom de ce phénomène en espagnol : calabobos, un nom adéquat à sa personne. La douleur physique et l’angoisse lui produisirent des nausées. Il se serait bien assis afin de manger/ il se serait mieux senti mangeant quelque chose de solide et se prendre un café bien serré, mais il rejeta l’idée parce qu’il était resté sans un centime et, sans passeport, il ne pouvait (pas) arriver/ se rendre à / aller à un banc. Il ne lui restait pas d’autre issue/échappatoire que de se rendre à l’Ambassade britannique à la recherche d’aide/secours, même si/bien que cela lui fit honte de se présenter devant un dédaigneux/ méprisant fonctionnaire comme le plus innocent des touristes.
En s’abritant de la pluie sous les auvents il se mit à marcher dans la rue du Prado, pendant qu’il réfléchissait/ qu’il était entrain de réfléchir à la meilleure manière/solution de se faire connaître à l’Ambassade, manquant de quelque chose comme il manquait de pièces justificatives de son identité. Il suffirait de donner son nom à un fonctionnaire qui connaissait ses écrits sur la peinture espagnol du Siècle d’Or. Dans le cas contraire, il se verrait obligé/forcé d’avoir recours à ses amis/relations dans le Foreign Office, bien que cette éventualité lui provoquait certaine inquiétude, parce que son ami dans le Foreign Office était un ancien condisciple de Cambridge, à l’heure actuelle/actuellement le mari de Catherine, avec qui elle avait été trompé au cours des/ces dernières années et que, si la lettre de rupture était déjà arrivé/parvenu a ses mains, il allait/fallait/pouvait espérer une pulsion colérique ou peut-être la confession de son aventure/ sa relation amoureuse […] Mais, si l’Ambassade ne le protégeait pas, comment résoudre une situation qui semblait désespérée/sans espoirs ? L’unique alternative était de lui raconter ce qui est arrivé/passé au duc d’Igualada et se mettre sous sa protection […]
Il était arrivé à Neptune quand la pluie redoubla de violence. Ne sachant pas où se réfugier, il atteignit en deux grandes enjambées les escaliers du Musée du Prado et se dirigea vers le/au guichet. Donnant/ayant donné la bonne heure et la pénurie/ indigence des visiteurs, la guichetière le reconnut et, avec une gentillesse qu’au milieu de son abandon/impuissance il l’a trouvé touchante/émouvante, il le laissa passer sans lui demander un laissez-passer qui avaient également été volés. Déjà sous un toit, et encore indécis sur le chemin
Message de grey posté le 16-12-2020 à 15:24:35 (S | E | F)
Je dois traduire ce texte pour mes études mais j'ai beaucoup de mal... aidez moi s'il vous plaît !
voici le texte en espagnol :
Al abrir los postigos vio un cielo cubierto y una lluvia fina que humedecía los tejados ; de repente recordó el nombre de aquel fenómeno en español: calabobos, un nombre adecuado a su persona. La resaca producida por los excesos de la víspera no le impedía percibir con nitidez lo dramático de su situación. El malestar físico y la angustia le produjeron náuseas. Le habría sentado bien comer algo sólido y tomarse un café bien cargado, pero descartó la idea porque se había quedado sin un céntimo y, sin pasaporte, no podía acudir a un banco. No le quedaba otra salida que acudir a la Embajada británica en busca de auxilio, por más que le avergonzara presentarse ante un displicente funcionario como el más inocente de los turistas.
Cobijándose de la lluvia bajo los aleros echó a andar por la calle del Prado, mientras iba pensando en la mejor manera de darse a conocer en la Embajada, careciendo como carecía de documentación acreditativa de su identidad. Bastaría con dar su nombre si algún funcionario concocía sus escritos sobre pintura española del Siglo de Oro. En caso contrario, se vería obligado a recurrir a sus amistades en el Foreign Office, si bien esta eventualidad le producía cierta inquietud, porque su amigo en el Foreign Office era un antiguo condiscípulo de Cambridge, en la actualidad el marido de Catherine, con quien le había estado engañando los últimos anos y de la que, si la carta de ruptura ya había llegado a sus manos, cabía esperar una reacción airada o tal vez la confesión de su aventura amorosa […] Pero, si no le amparaba la Embajada, ¿Cómo resolver una situación que se le antojaba desesperada? La única alternativa era contarle lo ocurrido al duque de la Igualada y ponerse bajo su protección […]
Había llegado a Neptuno cuando arreció la lluvia. No sabiendo dónde refugiarse, ganó en dos zancadas las escaleras del Museo del Prado y se dirigió a la taquilla. Dado lo temprano de la hora y la escasez de visitantes, la taquillera lo reconoció y, con una amabilidad que en medio de su desamparó le resultó conmovedora, le dejó pasar sin pedirle una credencial que también le habían robado. Ya bajo techo, y todavía irresoluto sobre el camino a seguir, dejó que sus pasos le llevaran una vez más a la sala de Velázquez.
et voici ma traduction :
Lors de l’ouverture des/ en ouvrant les volets il vit un ciel couvert et une pluie fine qui humectait les toits ; tout à coup il se souvint du nom de ce phénomène en espagnol : calabobos, un nom adéquat à sa personne. La douleur physique et l’angoisse lui produisirent des nausées. Il se serait bien assis afin de manger/ il se serait mieux senti mangeant quelque chose de solide et se prendre un café bien serré, mais il rejeta l’idée parce qu’il était resté sans un centime et, sans passeport, il ne pouvait (pas) arriver/ se rendre à / aller à un banc. Il ne lui restait pas d’autre issue/échappatoire que de se rendre à l’Ambassade britannique à la recherche d’aide/secours, même si/bien que cela lui fit honte de se présenter devant un dédaigneux/ méprisant fonctionnaire comme le plus innocent des touristes.
En s’abritant de la pluie sous les auvents il se mit à marcher dans la rue du Prado, pendant qu’il réfléchissait/ qu’il était entrain de réfléchir à la meilleure manière/solution de se faire connaître à l’Ambassade, manquant de quelque chose comme il manquait de pièces justificatives de son identité. Il suffirait de donner son nom à un fonctionnaire qui connaissait ses écrits sur la peinture espagnol du Siècle d’Or. Dans le cas contraire, il se verrait obligé/forcé d’avoir recours à ses amis/relations dans le Foreign Office, bien que cette éventualité lui provoquait certaine inquiétude, parce que son ami dans le Foreign Office était un ancien condisciple de Cambridge, à l’heure actuelle/actuellement le mari de Catherine, avec qui elle avait été trompé au cours des/ces dernières années et que, si la lettre de rupture était déjà arrivé/parvenu a ses mains, il allait/fallait/pouvait espérer une pulsion colérique ou peut-être la confession de son aventure/ sa relation amoureuse […] Mais, si l’Ambassade ne le protégeait pas, comment résoudre une situation qui semblait désespérée/sans espoirs ? L’unique alternative était de lui raconter ce qui est arrivé/passé au duc d’Igualada et se mettre sous sa protection […]
Il était arrivé à Neptune quand la pluie redoubla de violence. Ne sachant pas où se réfugier, il atteignit en deux grandes enjambées les escaliers du Musée du Prado et se dirigea vers le/au guichet. Donnant/ayant donné la bonne heure et la pénurie/ indigence des visiteurs, la guichetière le reconnut et, avec une gentillesse qu’au milieu de son abandon/impuissance il l’a trouvé touchante/émouvante, il le laissa passer sans lui demander un laissez-passer qui avaient également été volés. Déjà sous un toit, et encore indécis sur le chemin
Réponse : Traduire un texte espagnol en français de gerold, postée le 18-12-2020 à 23:03:13 (S | E)
Bonjour grey
Mes connaissances en espagnol sont assez limitées mais je vais quand même essayer de vous aider un peu.
et voici ma traduction :t
En s’abritant de la pluie sous les auvents il se mit à marcher dans la rue du Prado, pendant qu’il réfléchissait/ qu’il était entrain deux mots de réfléchir à la meilleure manière/solution de se faire connaître à l’Ambassade,
Il était arrivé à Neptune quand la pluie redoubla de violence. Ne sachant pas où se réfugier, il atteignit en deux grandes enjambées les escaliers du Musée du Prado et se dirigea vers le/
Il est souvent possible d'améliorer votre texte pour qu'il ne fasse pas trop "traduit de" ex : .. parce qu’il était resté sans un centime = parce qu'il n'avait plus un centime.
que de se rendre à l’Ambassade britannique à la recherche d’aide/secours =que d'aller chercher de l'aide à l'Ambassade.
D'autres membres pourront peut-être vous aider davantage.
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Modifié par gerold le 18-12-2020 23:04
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